Sion fait le tour de l’appareil, on peut voir le bouton d’alimentation sur le profil droit ainsi que le double bouton pour gérer le volume. Sur ce point, Vivo et Xiaomi placent leurs touches
. Ah non alors, je ne vérifie rien du tout, moi... trop peur de tout faire sauter !! Je n'y connais que dalle en la matière en fait. A noter que lorsque l'ODB s'éteint, il le fait de manière très régulière il s'éteint environ 1 minute après s'être rallumé. A noter qu'il se rallume dans les secondes qui suivent sa mise hors service. Une fois, j'ai coupé le moteur puis l'ai rallumé, en espérant qu'en se réinitialisant de la sorte, l'ODB resterait sage. Il n'en a rien été il a continué son manège. Quand j'ai repris la voiture le soir, tout s'est bien passé. Et pendant des semaines comme cela. Jusqu'à ce que le phénomène se soit reproduit. A noter que je ne me souviens pas d'un événement particulier qui serait arrivé avant que le phénomène n'apparaisse la première fois. Je n'ai pas non plus trouvé de point commun entre les différentes fois où l'ODB s'est éteint. Il faut dire que cette voiture effectuant souvant les mêmes trajets, courts en général, il est difficile de trouver des points communs qui entoureraient le phénomène, à défaut de l'expliquer... C'est une voiture qui roule peu, mais quand elle roule, elle avance je veux dire qu'elle ne connaît pratiquement pas les embouteillages, donc elle n'a presque pas l'occasion de "chauffer" sur place, ce qui aurait pu être un facteur aggravant. Bref, c'est un bug qui n'est pas très gênant en soi, à condition de ne pas avoir besoin du GPS justement quand ça arrive, ou d'avoir envie d'écouter une émission importante à la radio... Ca peut être gênant évidemment si ce sont les prémices d'une panne plus sévère.
L’astrophotographie est un domaine passionnant et extrêmement riche. Mais il est aussi complexe. Oui, pour bien débuter, vous devez connaître pas mal de choses. Comme Ce qu’il est possible de photographierDes notions de photo, et d’astronomieLe choix et l’utilisation du matériel APN, télescope si besoin… Pas de panique ! On va voir tout ça ensemble dans cet article. Je vous propose de commencer avec une question simple mais essentielle Quel type d’astrophoto souhaitez-vous réaliser ? Les différents types d’astrophotographieLes photos de paysage nocturnePhotographier la Voie lactéePrendre la Lune en photoAstrophotographie planétaireAstrophotographie du ciel profondAlors comment choisir entre toutes ces catégories d’astrophotographie ? Connaître les bases en photoComment fonctionne un appareil photo Temps de pose, ouverture, focale et ISOLes réglages Notions d’astronomie Le meilleur télescope pour débuter l’astrophotographieLa lunette 80ED Les différents types d’astrophotographie L’astrophotographie est vaste, il existe donc beaucoup de catégories. Cela peut aller de la simple photo de la voûte céleste prise avec votre smartphone. Jusqu’à une superposition de clichés pris avec un télescope et une caméra à plusieurs milliers d’euros. Et entre les deux, il y a tout un éventail de possibilités. Que nous allons voir maintenant. Les photos de paysage nocturne Voici quelques exemples de photos de ciel étoilé Ce type d’astrophotographie est le plus simple. En effet, il vous suffit simplement de viser le ciel avec votre appareil photo et d’appuyer sur le déclencheur. Et hop… vous pouvez voir les étoiles apparaître sur votre photo ! Bon, en réalité, c’est pas aussi simple que ça. Eh oui, l’astrophotographie possède un gros défaut le manque de lumière. Si vous faites déjà un peu de photo vous le savez les clichés en basse luminosité sont les plus compliquées à prendre. Alors imaginez prendre des photos sans aucune autre source lumineuse que celles des objets célestes… Voire celle de la Lune quand elle est présente. L’autre ennemi des astrophotographes, c’est la pollution lumineuse. En effet, vous ne voulez pas non plus avoir trop de luminosité. Enfin du moins pas la mauvaise celle venant de nos villes. Mais… j’ai une bonne nouvelle quand même. Ces dernières années, les smartphones ont fait des progrès exceptionnels dans ce domaine. Et les derniers smartphones sont maintenant capables de prendre des photos de nuit largement potables et avec une bonne exposition. Même si la qualité est encore loin de ce que peut faire un vrai » APN appareil photo numérique, le résultat reste impressionnant pour de si petits capteurs. Photo prise avec un iPhone 12 Mini Évidemment, le mieux reste toujours d’utiliser un réflex. Avec objectifs interchangeables. Et surtout réglages manuels. Matériel nécessaire pour photographier la voûte céleste Un appareil photo Un trépied pas obligatoire mais fortement conseillé Photographier la Voie lactée Les astrophotographies de Voie lactée font partie des plus belles et des plus populaires. Je suis sûre que vous avez déjà dû en voir. Ici, la technique ressemble fortement à celle vue précédemment. À ceci près que… vous devez savoir où se trouve la Voie lactée pour la viser ! En été, elle traverse le ciel du nord au sud. Élément important à prendre en compte Dès que vous photographier les étoiles pendant quelques secondes, vous allez remarquer qu’elles ne forment plus un point. Mais un trait. Et plus votre temps de pose est long, plus ce trait appelé filé sera étendu. Filés d’étoiles Ce phénomène est dû à la rotation de la Terre. Eh oui, même si nous le voyons pas à l’œil nu, les étoiles se déplacent rapidement dans le ciel. Enfin en réalité, ce n’est pas elles qui bougent, mais nous qui tournons. Vous avez 3 moyens d’éviter ces filés Faire un temps de pose plus courtUtiliser une focale plus courte plus la focale de votre objectif est longue, plus le filé apparaîtra rapidementUtiliser une monture type StarAdventurer qui compense la rotation de la Terre Et rappelez-vous, comme pour les astrophotos précédentes… attention à la pollution lumineuse ! Matériel nécessaire Un APN Un trépied pas obligatoire mais fortement conseillé Passons maintenant au prochain type d’astrophotographie. Prendre la Lune en photo La Lune est l’un des astres les plus photographié. En effet, notre satellite étant l’objet céleste le plus proche de nous, il est assez simple de le prendre en photo… à condition d’avoir le bon matériel et les bonnes techniques. Eh oui, si vous avez déjà essayé de prendre la Lune en photo, vous avez dû vous rendre compte d’un petit souci elle est minuscule ! Oui, il est très difficile d’obtenir le même rendu que ce qu’on observe à l’œil nu. Et c’est frustrant de ne pas être capable de capturer le spectacle qu’elle nous offre… Alors comment prendre la Lune en photo ? L’élément le plus important c’est votre matériel. Vous l’avez compris, vous avez besoin de grossir beaucoup. Enfin pas vous, votre APN… Pour ça, il vous faut une longue focale comme un téléobjectif. Ou mieux un télescope. Voici par exemple un cliché que j’ai pris avec ma lunette 80ED et mon réflex Nikon D5100 Lune – Lunette Skywatcher 80ED & Nikon D5100 Enfin, la Lune pose un autre problème sa luminosité. Eh oui, si on ne s’en rend pas compte comme ça, elle est en réalité très lumineuse. Ce n’est alors pas toujours évident de la prendre bien exposée. Matériel nécessaire pour l’astrophotographie de la Lune Un APN avec fort grossissement Un trépied avec un zoom aussi fort, le moindre mouvement rendra votre photo floueUn télescope pas obligatoire Passons maintenant à 2 catégories d’astrophotographie demandant un peu plus de matériel. Astrophotographie planétaire Les planètes sont très lumineuses. Elles sont donc simples à repérer dans le ciel. Par contre… elles sont aussi très petites. Encore bien plus que la Lune. Pour les capturer, vous avez donc besoin d’un matériel avec très fort pouvoir grossissant. Eh oui, ici je parle bien d’un télescope. Les plus réputés dans ce domaine sont les télescopes à grande focale > 1000 mm. Comme les Schmidt-Cassegrain ou les Maksutov-Cassegrain. Concernant la technique de photographie Dans ce cas, on ne prend pas un ou plusieurs clichés directement. Non, on va en réalité filmer à travers notre télescope. Puis en extraire des images. Sachez qu’il est aussi possible de prendre des photos à travers votre télescope, directement avec votre smartphone ! Pour ça, vous n’avez besoin que d’un petit adaptateur pour bien positionner l’objectif de votre téléphone devant l’oculaire. Voici les planètes les plus simples à photographier JupiterSaturneVenusMars Matériel nécessaire pour l’astrophotographie planétaire Un télescope à grande focaleUne montureUne caméra type CMOS par exempleUne Barlow permet d’augmenter le grossissement, mais pas obligatoireUn logiciel de traitement Il ne nous reste plus que la dernière catégorie… [roulement de tambours]. Astrophotographie du ciel profond L’astrophotographie du ciel profond est sûrement le plus compliqué. Car il nécessite de bonnes connaissances en astronomie mise en station, suivi des astres automatique…, en photographie ainsi qu’en traitement de l’image. Mais c’est aussi l’un des domaines qui fait le plus rêver enfin pour moi en tout cas. Là encore, je suis sûre que vous avez déjà dû vous émerveiller devant de magnifiques clichés de galaxies ou de nébuleuses. Ce genre d’astrophotographie, c’est la spécialité d’Hubble, le télescope de la NASA. Ce qui est fou, ce que vous pouvez prendre ces photos… vous-même ! Alors évidemment, vous n’arriverez jamais au même résultat qu’Hubble. Mais c’est normal, parce que lui il triche. Il prend ses photos depuis l’espace… Mais certains astronomes amateurs réalisent des photos vraiment impressionnantes. Voici par exemple ma toute première photo de la nébuleuse d’Orion. Nébuleuse d’Orion – 1 seule photo retouchée – lunette 80ED et Nikon D5100 Le plus gros inconvénient de ce type d’astres galaxies, nébuleuses, amas…, c’est qu’ils sont très peu lumineux. Vous voulez donc au maximum éviter la pollution lumineuse. Mon conseil Armez-vous de beaucoup de patience. Et économisez, jusqu’à avoir au moins un millier d’euros. Vous pourrez alors acheter du bon matériel, qui ne vous décevra pas. En tout cas, le jeu en vaut la chandelle ! 🙂 Matériel nécessaire pour l’astrophotographie du ciel profond Un télescope focale variable en fonction des ciblesUne caméra réflex ou caméra spécialiséeUne monture solideUn logiciel d’empilement ou stacking en anglaisUn logiciel de traitement Alors comment choisir entre toutes ces catégories d’astrophotographie ? Le premier critère c’est bien évidemment votre envie. Ce vers quoi vous êtes le plus attiré. Le second, c’est le budget. Si vous pouvez commencer à faire quelques photos du ciel nocturne avec votre smartphone… pour pratiquer l’astrophotographie au télescope planétaire ou ciel profond, il vous faudra débourser plusieurs centaines d’euros au minimum. Réfléchissez donc bien à tout ça, avant de vous lancer. Vous avez fait votre choix ? Super ! On peut passer à ce que vous devez connaître pour pratiquer l’astrophotographie. Connaître les bases en photo Eh oui, c’est logique… Pour faire de l’astrophotographie, vous devez connaître les bases de la photo. Bien sûr, vous pouvez commencer sans jamais avoir touché à un APN. Mais ce n’est pas le plus évident. Alors que devez-vous connaître pour vous lancer ? Comment fonctionne un appareil photo Si vous n’avez pas absolument besoin de connaître votre matériel dans les détails pour commencer, avoir une idée de comment il fonctionne peut vous être utile. Ça vous permet d’avoir une vue d’ensemble. Mais le plus important c’est ça Temps de pose, ouverture, focale et ISO Si vous faites de l’astrophotographie juste avec un boîtier et un objectif sans télescope, alors vous avez 4 paramètres à prendre en compte Le temps de pose c’est le temps pendant lequel votre APN va poser », avant de vous donner le cliché finalL’ouverture à quel point votre diaphragme est ouvert ce qui joue aussi sur la quantité de lumière récoltéeLa focale la distance entre le centre optique de votre objectif et votre capteur c’est ce qui détermine le grossissementLes ISO la sensibilité du capteur joue sur l’exposition Si vous faites de l’astrophotographie avec un télescope on voit ça juste après, vous n’avez pas à vous occuper de l’ouverture ni de la focale. Eh oui, la photo se fait au foyer du tube. C’est votre télescope qui joue le rôle d’objectif. Et sa focale et son ouverture sont fixes. astrophotographie au foyer du télescope Les réglages La théorie c’est bien, mais ce qui compte c’est surtout de savoir utiliser son matériel ! Vous devez donc savoir comment Mettre et utiliser votre appareil en manuel Régler l’exposition avec les ISOModifier le temps de pose Naviguer dans les menus… Si tout ça n’est pas encore clair pour vous, ne vous en faites pas. Ça va venir au fur et à mesure. Ne restez pas bloqué parce que vous n’avez pas toutes les connaissances. Ce qui compte plus que tout c’est la pratique. C’est s’entraîner. Se tromper. Et recommencer encore et encore. Ce qui compte, c’est votre passion. Votre envie de progresser. Mais… ici nous ne parlons pas juste de pratiquer la photo. Mais bien l’astro-photo. De bonnes notions en astro vous seront donc aussi utiles ! Notions d’astronomie L’astronomie est un domaine en lui-même. Avec ses concepts, ses techniques et ses méthodes. Évidemment, vous n’avez pas besoin d’autant de connaissances si vous réalisez une simple » photographie du ciel étoilé, que si vous photographiez une nébuleuse. Plus le sous-domaine que vous choisissez est complexe, et plus vous avez besoin d’être calé. En photo, mais aussi en astro. Réglage du viseur polaire d’une HEQ5 Bonne nouvelle ! Vous êtes ici sur un blog d’astronomie. Vous devriez donc trouver pas mal d’informations sur ce domaine. Voici quelques éléments d’astro à creuser Apprendre à se repérer dans le cielFaire une mise en stationInstaller et configurer son télescopeUtiliser une monture équatorialeUtiliser un Viseur Polaire Nous avons déjà réalisé un article et/ou une vidéo sur chacun de ces sujets et bien d’autres. Alors n’hésitez pas à vous balader sur le blog et sur la chaîne YouTube pour découvrir tout ça ! Ok. Avoir des connaissances théoriques c’est bien. Mais vous n’irez pas loin si vous n’avez pas le matériel pour les mettre en pratique ! Nous allons donc maintenant voir comment choisir votre télescope pour commencer l’astrophoto du ciel profond. Le meilleur télescope pour débuter l’astrophotographie Si vous souhaitez faire de l’astrophoto planétaire ou du ciel profond, alors vous avez besoin d’un télescope. Attention Un télescope pour l’astrophotographie ne se choisit pas de la même manière qu’un télescope pour l’observation. Eh oui, les critères ne sont pas les mêmes. Pour l’observation, c’est par exemple l’ouverture qui permet de récolter beaucoup de lumière qui est primordiale. Elle l’est beaucoup moins en photo, car on peut compenser par des temps de pose plus longs. L’élément n°1 à prendre en compte pour choisir son télescope pour l’astrophotographie, c’est son rapport F/D = focale / diamètre. C’est-à -dire la rapidité de l’instrument à récolter de la lumière. De la même manière, on ne choisit pas le même télescope pour photographier les planètes que le ciel profond. Voyons maintenant un exemple de télescope spécialement conçu pour la photo du ciel profond. La lunette 80ED L’astrophotographie du ciel profond se réalise généralement avec une caméra réflex ou caméra spécialisée au foyer du télescope. Vous n’utilisez donc pas d’oculaire. Résultat La focale reste fixe. Vous obtenez donc toujours le même grossissement. Toujours la même quantité » de portion du ciel. Vous devez donc connaître la dimension des astres que vous souhaitez photographier. Et choisir un télescope avec une focale correspondante. De manière à ce que votre objet soit bien visible dans le champ. Ni trop gros, ni trop petit. Je vous donne mon exemple J’ai choisi de me concentrer sur des objets étendus du ciel profond. Tels que des nébuleuses. J’ai donc sélectionné la lunette 80ED qui possède une focale assez courte 600 mm. Ainsi, je peux zoomer » dans le ciel pour photographier des objets bien précis. Mais garder un champ suffisamment large pour faire tenir de grands objets célestes en entier. Et voilà , nous avons fait le tour des principaux éléments à connaître pour vous lancer dans l’astrophotographie ! J’espère que tous ces conseils pourront vous aider. Je vous encourage vivement à creuser plus en profondeur les différents points qu’on vient de voir. Chaque texte en bleu étant un lien vers un article complet sur le sujet. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une très belle découverte… et gardez la tête dans les étoiles ! Crédit de l’image d’entête NASA.
4 Présentation Mise à jour le 2 juillet 2012 le Sony RX100, avec son capteur de 1" et 20 Mpx, établit de nouveaux standards en matière de qualité d'image, en niveau de détails comme en gestion du bruit. Par conséquent, la note "Qualité d'image" du WX100 est révisée à quatre étoiles. Il reste tout de même une excellente référence parmi "les autres"... Le zoom devient peu à peu l'argument numéro 1 des constructeurs. Après les compacts classiques, un peu encombrants, c'est en effet au tour des modèles plus design et moins hauts en gamme de passer le cap des 10x. Chez Sony, c'est donc le WX100 qui s'y colle dans un boîtier stylé de 22 mm d'épaisseur, il fait tenir un zoom 25-250 mm. Prise en mains Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant d'un APN inconnu, qui n'est chaque fois ni tout à fait le même, ni tout à fait un pour la boutade. Mais franchement, c'est tentant... Le WX100, en mains, est une copie conforme du WX7. Regardez la face arrière c'est la même, avec non seulement les mêmes boutons, mais encore le même arrondi, le même toucher, jusqu'à l'encadrement noir de l'écran qui est repris à l'identique !Bien sûr, il n'est pas tout à fait identique les symboles peints passent du gris au blanc. Et puis, la tranche gauche est débarrassée de l'étrange gorge qui la retaillait. Mais il s'agit de détails et, si l'on apprécie l'effort de standardisation de Sony toujours important pour la cohérence d'une gamme, on regrette que nos remarques sur les boutons ou la roue codeuse n'aient pas entraîné une petite révision...Pire le WX100 est l'occasion d'une vraie régression en ce qui concerne l'écran. Si les spécifications ne changent pas, la technologie est bien différente c'est désormais un écran TN. On retrouve donc les inversions de couleurs quand on le regarde par en dessous, qui ne permettent pas de viser confortablement par dessus un obstacle ou une foule, et qui valent à l'appareil un aller simple pour les trois étoiles dans notre système de notation. Accessoirement, le contraste excessif grille les gris clairs, les gris foncés souffrent d'une forte dominante bleutée et les couleurs sont délirantes, même quand on est bien en face de l'écran...Dommage, car en dehors de ça, l'interface Sony est assez agréable et l'utilisation de l'appareil plutôt claire, avec notamment un accès direct au mode panoramique. Réactivité Voilà , à n'en point douter, le point fort du WX100. L'autofocus est fiable et rapide en toutes circonstances, il enchaîne les photos sans faiblir une seconde d'attente à peine et le mode rafale fonctionne comme sur les autres Sony "X" 10 images en une le vrai bon point, sur un marché où les compacts mettent souvent plus de deux secondes à se réveiller, c'est le temps de démarrage entre l'appui sur l'interrupteur et la première prise de vue, il s'écoule une seconde et demie. C'est mieux que la moyenne, bien mieux que la plupart des gros zooms, et presque deux fois mieux que l'Ixus 500 HS — pour prendre l'exemple d'un gros zoom ultra-stylé. Qualité d'image Le WX100 reprend le capteur 18 Mpx vu notamment sur le HX10V. L'optique est en revanche nouvelle malgré sa plage équivalente, elle n'a rien à voir avec celle du gestion de la sensibilité est sans grande surprise. Comme sur le HX10V, les images sont un peu plus texturées, un peu moins "peintes", que sur le cru 2011 ; jusqu'à 800 ISO, elles restent très belles. À 1600 ISO, le lissage paraît plus brutal et moins subtil que sur le HX10V peut-être la précision un peu inférieure de l'optique joue-t-elle sur la possibilité pour l'algorithme de retrouver textures et détails...Retrouvez le Sony Cyber-shot HX200V dans le face-à -faceNon pas que l'optique soit mauvaise le WX100 n'est, sur ce plan, pas si loin des compacts classiques récents. En fait, il est même un peu meilleur que le HX7V, dont nous notions que "l'optique ne permet pas de vraiment profiter des 16 Mpx".Au grand-angle, l'image est tout de même légèrement moins nette que sur le HX10V, mais reste très homogène et des tirages 20x27 cm sont impeccables. Au téléobjectif, le piqué au centre est en baisse mais les bords conservent une bonne tenue. Rien de gênant, là encore, sur un tirage courant dans l'ensemble, seuls les maniaques du recadrage 100% ou du très grand tirage verront une vraie différence avec ses grands frères. Vidéo Par défaut, le WX100 filme en 1440x1080 entrelacé. Il est également possible de passer en 1920x1080, mais toujours en entrelacé le mode progressif reste donc réservé au haut de gamme HX200V par exemple. L'image est précise, fluide et agréable, et l'exposition évite de "percer" les zones revanche, le son est bon... lorsqu'il y en a peu. À bas volume, l'enregistrement est assez fidèle ; en revanche, dès que plusieurs bruits sont présents et que le volume monte, la saturation s'en mêle et les voix deviennent brouillées et peu reconnaissables... Points forts Construction agréable. Bonne qualité d'image sensibilité, piqué.... Démarrage et mise au point rapides, peu d'attente entre deux photos. Vidéo Full HD, précise et agréable. Points faibles Détails de finition boutons dorsaux, roue codeuse. Écran qui vire au noir vu d'en-dessous. Saturation du son en vidéo. Conclusion Note globale Comment fonctionne la notation ? Le WX100 propose une bonne qualité d'image dans un boîtier au format désormais assez classique, mais agréablement construit. Sa réactivité est un atout indéniable, et il décrocherait aisément la quatrième étoile... s'il n'y avait cet écran aux couleurs délirantes et que l'on ne peut regarder par en dessous. Sous-Notes Prise en main Réactivité Qualité des images Mode vidéo
Dans l’article 4 manières de débuter l’astrophotographie, nous avons vu qu’il n’y avait pas un télescope pour pratiquer l’ effet, le télescope que vous allez choisir va dépendre des objets que vous voulez photographier. Il n’existe pas un télescope universel permettant de faire tout type de photographie. Enfin en tout cas, ce n’est pas l’ vaut toujours mieux avoir un télescope spécialisé qui donne une bonne qualité d’images, plutôt qu’un télescope qui peut tout faire », mais avec une qualité moyenne. Il est donc préférable de savoir dès le début ce que vous souhaitez photographier, pour choisir votre matériel en conséquence. Si ce n’est pas déjà votre cas, nous vous invitons à jeter un œil à l’article 4 manières de débuter l’astrophotographie. Dans cet article, nous allons voir ensemble quel est le meilleur télescope pour débuter l’astrophotographie du ciel profond. Le matériel que nous allons découvrir ensemble est donc adapté à une catégorie d’astrophotographie précise l’astrophoto du ciel profond. Commençons tout de suite par la liste du matériel pour débuter l’astrophotographie ! La liste du matériel pour débuter l’astrophotographieLa caméraLa montureL’adaptateur boîtier/télescopeComment choisir son télescope pour débuter l’astrophoto ?Premier critère la montureDeuxième critère la focale du télescopeTroisième critère le rapport F/DQuatrième critère le budgetNos critèresMeilleur télescope pour débuter l’astrophotographie choix n°1Avantages du 150/750Quelle monture pour le 150/750 ?Conclusion sur le 150/750Choix n°2 pour débuter l’astrophotographie du ciel profond la lunetteAvantages de la 80ED150/750 vs 80ED deux télescopes complémentairesQuelle monture pour une 80ED ?Autres exemples de télescopes pour débuter en astrophotographie Derniers conseils Pourquoi la 80ED ?Conclusion La liste du matériel pour débuter l’astrophotographie Pour faire vos premiers pas dans le vaste monde de l’astrophotographie, vous allez avoir besoin d’un certain nombre d’éléments. Parmi eux, certains seront indispensables et d’autres optionnels. Dans un premier temps, nous allons nous concentrer sur la première catégorie, la plus importante ! La caméra Le premier élément obligatoire pour pratiquer l’astrophotographie, comme pour tout type de photos, c’est la existe plusieurs types de caméras pour l’astrophotographie. La plus simple à utiliser et la moins chère d’entre elles est le en possédez d’ailleurs peut-être déjà un. Pour pratiquer l’astrophotographie, seul le boîtier du reflex va nous servir. En effet, dans un appareil photo, il y a deux parties le boîtier et l’ ce qui va nous servir d’objectif, ça va être le télescope ou la lunette. L’idée va être de connecter directement le boîtier du reflex au foyer du télescope. Le reflex de Laura au foyer de sa lunette 80ED Ensuite, le deuxième élément essentiel à la pratique de l’astrophoto, c’est la monture. La monture La monture va nous permettre de compenser le mouvement de rotation de la ainsi, de suivre les astres dans leur course folle au fil de la nous faut donc une monture équatoriale. Mais pas n’importe quelle monture équatoriale !Cette dernière doit être motorisée pour suivre toute seule l’astre et surtout solide ! En effet, elle va devoir supporter le poids de votre télescope, mais également celui de votre appareil photo et potentiellement de vos accessoires. La monture devra donc être suffisamment solide pour supporter tout ce petit monde. Tout en restant fluide dans ses mouvements. HEQ5-pro L’adaptateur boîtier/télescope Enfin, dernier élément essentiel l’adaptateur pour fixer le boîtier au télescope. Ah mais attendez…Nous n’avons pas parlé du télescope ! Donc bien évidemment, il vous faudra un revient en détail là -dessus dans la suite. Mais pour l’instant, restons sur l’adaptateur. T-Adaptateur pour fixer le réflex sur le télescope Comme je le disais précédemment, ce dernier va servir à fixer votre caméra sur votre que sans lui, comment dire… Ces quatre éléments forment ensemble le minimum syndical pour débuter l’astrophotographie du ciel profond. Laura a créé un PDF La liste du matériel pour l’astrophotographie, que vous pouvez télécharger gratuitement, qui regroupe tous ces éléments ainsi que les références exactes. Ce PDF contient également le matériel optionnel que vous pourrez acquérir au fur et à mesure pour améliorer vos photos. Dans cet article, nous allons surtout nous concentrer sur le choix du télescope. Ainsi, pour commencer, nous allons voir ensemble quels sont les critères à prendre en compte pour le verrons ensuite des exemples précis de bons télescopes ou lunettes pour débuter. Comment choisir son télescope pour débuter l’astrophoto ? Pour bien choisir votre matériel, le premier élément à étudier, c’est la monture. Premier critère la monture C’est la monture qui va supporter tout le poids des accessoires et se charger du suivi des astres. C’est donc l’élément le plus important, mais également souvent le plus onéreux. Ce qu’il faut prendre en compte ici, c’est que les objets que l’on veut photographier sont les objets du ciel profond. Et qui dit objets du ciel profond, dit peu va donc chercher à prendre des photos avec des temps de pose longs, afin de récolter le plus de lumière possible. Le problème avec les temps de pose longs, c’est qu’il ne faut pas que l’objet vous n’êtes pas sans savoir que la Terre si vous prenez une photo du ciel avec un temps de pose de 30 secondes par exemple, le résultat risque fort de vous décevoir… En effet, vous allez obtenir ce que l’on appelle un filé. Filé d’étoiles Même si ça peut être joli. Ce n’est pas ce qu’on souhaite obtenir ici. Et nous, ce que l’on veut, c’est que l’objet visé soit bien net. Donc qu’il reste toujours au centre de la photo. Pour cela, il faut que la monture compense la rotation de la avons donc besoin d’un moteur pour que la monture puisse suivre l’astre. Deuxième critère la focale du télescope Autre élément à prendre en compte plus la focale de votre télescope est grande plus vous zoomez, plus c’est compliqué. Et moins vous aurez droit à l’ effet, un tout petit dé-réglage va faire que l’image va bouger. Donc il faut bien faire attention à l’équilibrage, à l’alignement polaire et aux erreurs de suivi. Vous voulez avoir un bon équilibrage, un bon alignement polaire et le moins d’erreurs de suivi possible. Conclusion Plus la focale de votre télescope est grande, plus vous aurez de difficultés à photographier des objets du ciel profond. Le mieux est donc de débuter avec une focale assez limiterez ainsi les risques d’erreur tout en vous familiarisant avec le domaine de l’astrophotographie. Cela vous permettra de vous habituer à l’astrophotographie et de progresser, pour pouvoir ensuite vous attaquer à un matériel plus difficile à maîtriser. Ensuite, il vous faut également prendre en compte le rapport F/D focale/diamètre. Troisième critère le rapport F/D Ce rapport correspond à la luminosité de votre exemple, avec un télescope 130/900, le rapport F/D est de 900/130 = 6,9. En astrophotographie, on veut que le rapport F/D soit le plus petit signifie en effet que le télescope captera plus de lumière en moins de temps. Pour avoir la même image, le télescope avec le rapport F/D petit mettra bien moins de temps que celui avec un rapport F/D plus élevé. Donc vos temps de pose seront plus courts pour capter autant de lumière. Enfin, dernier élément à prendre en compte le budget. Quatrième critère le budget Comme toujours en astronomie, le matériel coûte budget n’est donc pas un point à négliger. En astrophotographie tout particulièrement, le matériel coûte très est ainsi difficile de débuter l’astrophotographie avec un budget en dessous de 1 000€.Ça ne veut pas dire que c’est impossible, mais il vous faudra regarder du côté de l’occasion. En revanche, du matériel neuf en dessous de 1 000€ sera compliqué à trouver. En tout cas pour obtenir de bons résultats en astrophotographie. Vous pourriez tout à fait vous initier avec du matériel pas très cher, comme un télescope 130/900, mais il sera compliqué d’obtenir de bons résultats. Ce n’est pas tant le tube le problème. Mais la monture. Eh oui, comme je vous l’ai dit précédemment, une bonne monture coûte très une bonne monture coûte déjà cher. Veillez bien à prendre en compte votre budget avant de vous lancer. Maintenant que nous avons fait le tour des différents critères à prendre en compte, voyons le matériel que nous vous avons sélectionné. Mais avant de commencer à étudier le matériel que nous allons vous présenter, voyons les critères que nous avons pris en compte pour choisir. Nos critères Le premier critère pour sélectionner le matériel que nous allons vous présenter est de pouvoir commencer l’astrophotographie avec un budget assez en ayant déjà de bons résultats. Nous avons donc sélectionné un matériel le moins cher possible, mais qui permet déjà d’avoir des images de bonne qualité. Le deuxième critère a été la simplicité d’ avons choisi un matériel relativement simple à utiliser. Tout en sachant que l’astrophotographie en elle-même est de toute façon un domaine insistons donc bien sur le relativement simple ». Découvrons maintenant ensemble notre premier choix de matériel. Skywatcher 150/750 Notre premier choix est un matériel très populaire, si ce n’est même le plus populaire pour débuter l’astrophotographie. Il s’agit du Skywatcher 150/750. C’est vraiment le moins cher pour bien débuter l’astrophotographie. Il possède également plusieurs avantages. Avantages du 150/750 Le premier avantage du 150/750, c’est qu’il est effet, vous allez pouvoir faire aussi bien de l’astrophoto que de l’observation simple sans soucis avec lui. Son deuxième avantage, c’est qu’il vous permettra de faire des photos du ciel profond, mais également des photos effet, nous avons vu que ces deux types d’astrophotographie nécessitaient du matériel différent. Mais avec un 150/750, la photographie planétaire est également accessible avec d’assez bons résultats.Même s’il est plutôt conçu pour le ciel profond. Nous n’avons pas réellement noté d’inconvénients avec ce télescope, mais vous verrez avec notre second choix que les deux sont complémentaires. Revenons à notre 150/ ce télescope, nous l’avons vu, il vous faudra obligatoirement une monture pour faire de la photo. Quelle monture pour le 150/750 ? Le minimum en termes de monture sera de prendre une EQ3-2. Mais ce n’est pas l’idéal, il s’agit vraiment du minimum astronomes font de l’astrophotographie avec ce matériel, mais ce n’est pas ce que nous vous recommandons. Nous vous conseillons plutôt d’utiliser au minimum une EQ5, obligatoirement motorisée pour pouvoir suivre les astres. Télécommande GoTo Vous pouvez en plus en prendre une avec GoTo, mais ce n’est pas GoTo est pratique, car il permet de demander directement à la monture de viser l’astre cherché. Par ailleurs, le mieux avec ce télescope est d’opter pour une vous pouvez vous le permettre, n’hésitez donc pas. Vous pouvez également continuer à monter en gamme avec une cela vous sera plutôt utile si vous pensez passer sur du matériel plus solide. En effet, opter directement pour un meilleur modèle de monture peut être intéressant si vous voulez par la suite changer votre tube pour un plus solide. Vous n’aurez dans ce cas pas besoin de changer la retenez que si vous voulez simplement investir dans du bon matériel pour débuter, sans trop vous ruiner, l’EQ5 est déjà très bien. Vous êtes peut-être un peu perdu dans tous ces noms de montures, EQ5, HEQ5…Nous n’allons pas rentrer dans les détails ici, nous ferons un article dédié aux montures prochainement. Conclusion sur le 150/750 Le télescope Skywatcher 150/750 est un choix très populaire pour débuter l’astrophotographie. Beaucoup de personnes choisissent ce télescope pour se lancer, parce qu’il n’est pas encore trop cher et qu’il permet déjà d’obtenir des photos de bonne qualité. Donc avec ce premier choix, vous pouvez déjà vous amuser et faire de jolies photos. Voyons maintenant notre second choix pour débuter l’astrophotographie du ciel profond. Choix n°2 pour débuter l’astrophotographie du ciel profond la lunette Cette fois-ci, notre second choix n’est pas un télescope, mais une rappel, la différence entre un télescope et une lunette réside principalement dans la composition des optiques. En effet, un télescope est composé de miroirs tandis que, dans une lunette, ce sont des lentilles qui se chargent de capter les images. D’ailleurs, on parle plus généralement de télescopes réflecteurs télescopes à miroir et de télescopes réfracteurs lunettes. En ce qui concerne notre second choix, nous nous sommes tournées vers la lunette Skywatcher d’ailleurs la lunette que possède Laura. Celle-ci est une lunette dite signifie qu’elle a été traitée pour corriger les aberrations chromatiques. La 80ED possède plusieurs avantages, mais également plusieurs inconvénients par rapport au premier choix. Avantages de la 80ED Son premier avantage, c’est qu’elle fait de très belles lunettes apochromatiques sont vraiment de très bons choix pour l’ effet, elles ont un très bon piqué et peuvent donc faire de très belles photos. Son deuxième avantage, c’est qu’elle est peu est bien moins encombrante que le 150/750. Par ailleurs, une lunette est plus simple à utiliser qu’un effet, avec les lunettes, pas besoin d’effectuer de collimation. Ensuite, contrairement au Newton 150/750, le tube est fermé, ce qui fait qu’elle est moins sensible à la turbulence atmosphérique. La mise en température est également bien plus rapide à faire avec une lunette qu’avec un Newton. Cela signifie que vous pourrez utiliser plus rapidement votre lunette après l’avoir sortie dehors qu’avec un Newton. Néanmoins, malgré tous ces avantages, la lunette 80ED possède également quelques inconvénients. Comme je vous le disais précédemment, le 150/750 et la 80ED sont que les inconvénients de l’un sont un peu les avantages de l’autre et inversement. 150/750 vs 80ED deux télescopes complémentaires Le principal inconvénient de la 80ED, c’est qu’elle est moins faite pour bien sûr, il est toujours possible d’observer avec cette lunette, mais elle est plutôt conçue pour prendre des photos. En effet, elle ne possède que 80 mm d’ouverture, ce qui est donc très capte ainsi peu de lumière par rapport au 150/750 par exemple, qui lui offre 150 mm d’ observe donc moins bien dans la 80ED, surtout les objets du ciel profond peu lumineux. Cela ne pose pas de problème pour l’astrophotographie, puisqu’on va faire des poses longues, afin de récolter plus de lumière. Ensuite, contrairement au 150/750, la 80ED ne se prête guère à la photo donné sa focale courte 600 mm, elle grossit assez peu, ce n’est donc pas le top pour du planétaire. Malgré tout, certains astronomes arrivent à faire de très belles photos de planètes, notamment Saturne et Jupiter, avec théoriquement, il est difficile de faire de belles photos planétaires avec la 80ED, mais en pratique a priori c’est faisable. Par ailleurs, en raison de cette différence de focale, le champ ne sera pas le même pour les deux matériels. Avec la 80ED, le champ sera un peu plus cibles pourront globalement être les mêmes entre les deux télescopes, mais pas forcément de la même manière. Par exemple, certains objets étendus pourront entrer totalement dans le champ de la 80ED, mais seront un peu justes pour le Newton. À l’inverse, certains objets plus petits se verront bien dans le 150/750, mais paraîtront petits dans la 80ED. Exemple de différence de champ exagérée avec la nébuleuse d’Orion Maintenant que nous avons passé en revue les inconvénients de la 80ED, voyons avec quelle monture l’associer. Quelle monture pour une 80ED ? En ce qui concerne la monture, pour la 80ED, le minimum est le même que pour le 150/750 une en sachant que la lunette est bien plus légère que le Newton. Malgré tout, le mieux c’est encore une fois d’opter pour une s’agit d’ailleurs de la monture que Laura a choisie pour sa lunette 80ED.La sienne est une HEQ5 pro pour être exacte. Voilà , nous avons vu nos deux choix pour débuter l’astrophotographie. Bien sûr, ce n’est pas du tout exhaustif, il y a plein d’autres matériels pour débuter l’ nous avons choisi de ne vous sélectionner que deux exemples, car ce sont les deux que nous recommanderions le plus pour débuter. Encore une fois, ces deux exemples sont adaptés à l’astrophotographie du ciel profond. Mais vous pouvez également choisir d’autres télescopes pour une autre catégorie de photos. Autres exemples de télescopes pour débuter en astrophotographie Lunette 72ED Il existe également la 72ED, qui possède un diamètre et une focale encore plus réduits. Ainsi, cette dernière offre un champ encore plus large, permettant de capturer des objets du ciel profond encore plus étendus. Le principal inconvénient de celle-ci, c’est que le diamètre est vraiment petit, donc elle est encore moins bonne pour de l’observation simple. En ce qui nous concerne, la lunette 80ED et le Skywatcher 150/750 nous semblent être de bons choix pour débuter en ont fait leurs preuves auprès de beaucoup d’astronomes amateurs. Si vous êtes intéressés par la lunette 80ED, Laura va faire plein de vidéos pour la tester sur la chaîne YouTube Astronomie pouvez donc vous abonner à la chaîne pour ne pas les manquer ! Vous y découvrirez entre autres bientôt des tests en photo, mais aussi en visuel. Sinon, pour en revenir aux autres choix possibles, vous pourriez également vous tourner vers un Newton à diamètre plus élevé. Comme un 200 mm. Mais dans ce cas, il faudra bien prendre en compte que le tube sera plus gros et donc plus dit tube plus lourd, dit monture plus importante. Il faudrait par exemple vous tourner vers une EQ6. L’avantage d’un gros tube comme celui-là , c’est que c’est très effet, en photo ce sera très bien avec une bonne monture, mais vous pourrez également l’utiliser en observation, en le mettant sur une monture Dobson par exemple. Derniers conseils On l’a évoqué rapidement un peu plus haut, mais quand vous achetez une monture, pensez à l’évolution de votre matériel. Par exemple, imaginons que vous preniez un tube pas très lourd comme le 150/750 et que vous l’associiez à une monture un peu limite pour son par la suite, vous décidez d’opter pour un tube plus lourd, vous n’aurez pas d’autre choix que de changer votre monture pour une monture plus imposante également. Donc, réfléchissez bien à cela lorsque vous achetez votre qu’en effet, sur le coup la monture la moins chère capable de supporter correctement votre tube semblera être une bonne idée financièrement. Mais si par la suite vous devez racheter une autre monture encore plus chère en plus de votre nouveau tube, ce ne sera peut-être pas si intéressant que ça finalement ! Ainsi, il pourrait peut-être s’avérer plus judicieux de prendre d’emblée une monture plus solide qui supportera largement votre tube actuel. Et qui pourra supporter également un éventuel tube plus lourd. N’oubliez pas que le marché de l’occasion existe aussi en astronomie !Si vous voulez vous lancer dans l’astrophoto, mais que votre budget est un peu juste, cela peut être un bon compromis. Par ailleurs, vous pouvez également opter pour du matériel d’occasion pour obtenir un matériel plus évolué pour le même budget. Pour en revenir à nos choix, vous vous demandez peut-être pourquoi Laura a choisi la 80ED. Voici donc quelques explications concernant son choix. Pourquoi la 80ED ? Pour commencer, cela faisait plusieurs années que Laura possédait un télescope un Newton 130/900.Elle avait donc envie de tester un peu les lunettes. Non pas celles-là , Laura en a déjà ! Par ailleurs, comme nous l’avons vu, les lunettes apochromatiques sont vraiment très bonnes en astrophotographie. Et enfin, le principal élément qui a penché en faveur de la lunette, c’est l’ effet, nous l’avons évoqué, la lunette est bien moins encombrante qu’un télescope. Elle est donc plus pratique à transporter et à déplacer. De plus, avec la monture HEQ5, qui est déjà plutôt lourde, cela donne déjà un matériel assez lourd à transporter. Voilà , vous savez tout ! Conclusion C’est difficile de choisir un seul télescope pour débuter l’astrophotographie, car comme on l’a vu, cela dépend essentiellement de vos envies et de votre budget. Encore une fois, il n’existe pas de télescope choix dépendra notamment de ce que vous voulez observer et de votre budget, mais il y a également plein d’autres critères, comme nous l’avons vu ici. Dans tous les cas, si vous êtes intéressés par l’astrophoto du ciel profond, nous espérons que cet article vous aidera à y voir plus clair pour choisir votre matériel. Si toutefois vous avez encore des questions, n’hésitez pas à nous les poser en commentaires de cet essaierons de vous aider du mieux que nous pourrons ! Et sinon, vous pouvez télécharger le PDF qui présente la liste de tout le matériel que Laura utilise de son côté pour débuter l’astrophoto. Dans ce dernier, il y a également plein de petits accessoires en plus, dont nous n’avons pas sont pour la plupart optionnels, mais aident notamment à améliorer la qualité des images. En attendant de faire votre choix, n’oubliez pas de garder la tête dans les étoiles !
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