Dansla chanson, Marie-Antoinette et Louis XVI sont appelés Monsieur et Madame Veto, car la constitution de 1791 a accordé au roi le pouvoir exécutif et un droit de veto sur l’adoption des lois dont il abuse, d’après les sans-culottes. La chanson évoque également la « trahison » du roi après sa fuite et son arrestation à Varennes en 1791. Enfin, elle dénonce l’attitude du roi
Chante la guerre, chante. Parfois, les ombres se bousculent, mais je n’ai pas le temps de viser. Nous jouions souvent aux Cowboys. Si je n’étais pas l’Indien, je pleurais. Je voulais être en pagne. Torse nu. Et te sauter dessus. Te chatouiller, parfois trop. Quatre ans avant que tu arrêtes de rire. Kate venait nous rejoindre parfois. Pantalons et camisole. Elle, elle ne riait déjà
Ainsi ce samedi 10 octobre, Michel Cymès en a rajouté une couche sur le plateau de Salut les terriens, expliquant que Nagui lui "donnait des boutons" .
FredMella, le dernier des Compagnons de la Chanson, un groupe vocal très populaire des années 1950 à 1970, est mort samedi soir à
Jai craqué mon pantalon. En sortant de la maison. C'était un beau pantalon. Bien douillet tout bon chaud pour l'hiver. J'ai craqué mon pantalon. En sortant de la maison. Ouh la la. Qu'est-c'que j'ai fait là. J'avais pas l'droit d'sortir.
LaPeau de Couille. Voilà, voilà, voilà, La chanson du soldat. Pour mieux respirer. Pour pomper un si gros noeud. Son p'tit abricot fendu. Il est fendu par devant. Que d'aller s'fair' de la paill' dans l'con. Que tou' la paill' du pays. Des bidons plein l'con !
. En 1914, le pantalon de l'infanterie française, couleur rouge sang, provoque la mort de milliers de soldats. Le pantalon garance est tellement visible sur les champs de bataille que l'ennemi ne peut pas le rater. Ce beau pantalon, à la couleur rouge sang a provoqué la mort de milliers de soldats. C’est le fameux pantalon garance, tellement visible sur le champ de bataille que nos ennemis ne pouvaient pas le rater. Pourquoi l’Etat-major a-t-il laissé son armée partir au feu ainsi accoutrée ? C’est toute une histoire qui a duré plus de dix ans Au début du XXème siècle, tous les pays changent d’uniforme, et passent à la tenue camouflée. Une seule nation résiste encore et toujours, la France, bien ce n’est pas faute de réfléchir. Des commissions sont créées, des tenues essayées. En 1903, on tente un mélange de gris et de bleu, puis on passe à un mélange de beige et de bleu. durée de la vidéo 01 min 38 Le pantalon rouge Histoires 14-18 • ©France 3 En 1911, c'est la couleur verte qui tient la corde. Le ministre de la guerre est un fervent partisan du projet, mais il meurt, tué par un avion, qui atterrit en catastrophe. Pas de chance. En plus, l’opinion s’en mêle. La France doit venger l’affront de 1870 dans ses couleurs historiques. Le pantalon garance, c’est la France, assène un ancien ministre, pour le coup, pas très inspiré. Finalement, l’ordre est donné de confectionner des tenues plus discrètes, le 27 juillet 1914. Il est beaucoup trop tard. La guerre éclat. Beaucoup d’hommes mourront avant de porter l’uniforme bleu la collection des 670 vidéos Histoires 14-18 le site Histoires 14-18 le compte twitter Histoires1418 la page facebook Histoires 14-18 d'infos la carte interactive de la ligne de Front 14-18+ de vidéos la chronologie de la Grande Guerre en imagespour en savoir + sur l'uniforme du fantassin français en 1914
Le fait qu’Israël fasse partie du concours européen de la chanson qu’est l’Eurovison, est déjà aberrant. Israël ne fait pas pas partie de l’Europe, que l’on sache, et sa politique criminelle disqualifie a fortiori cet Etat pour toute participation dans la fameuse Europe ». Mais qu’en plus, on admette qu’il soit représenté par une chanson sur la menace nucléaire que constituerait l’Iran est un véritable scandale. Il existe des dirigeants déments qui aspirent à nuire avec des technologies diaboliques et ils vont presser le bouton » va chanter devant des dizaines de millions de téléspectateurs le groupe israélien Teapacks», le 10 mai prochain, à Helsinki.. Le morceau intitulé Push the button », sous prétexte de représenter la peur » israélienne que leur pays soit rayé de la carte » par l’Iran on prend vraiment les gens pour des imbéciles ! est en fait une invitation à attaquer l’Iran, de manière préventive », comme on tente de nous y habituer désormais quand l’administration américaine ou les dirigeants israéliens veulent introduire le chaos dans un pays trop indépendant à leur goût. Le monde est plein de terreur », chante le chanteur Kobi Oz, en s’en prenant au président iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Je ne veux pas mourir, je veux voir les fleurs grandir, je ne veux pas être kaput-kaboom», ose-t-il poursuivre, après que son pays eût fait mourir plus de 1200 civils cet été, utilisé des technologies diaboliques » que sont les bombes à fragmentation qui continuent à tuer des habitants du sud Liban, et transformé des villages entiers en champs de ruines ! Et ça au Liban l’été dernier, c’était l’Iran ? Est-ce que Rachel Corie, pacifiste américaine de 23 ans, voulait mourir » écrasée volontairement par un bulldozer israélien, à Rafah Bande de Gaza il y a 4 ans jour pour jour ? Le nouveau sondage international montre que l’opinion publique, qui place Israël en tête des pays dangereux, ne s’y trompe pas. Israël est le principal fauteur de guerre et de terrrorisme dans le monde, et tous les gouvernements qui l’encouragent sont criminels. Et on ne voit pas enquoi la bombe atomique possédée par Israël serait plus rassurante que celle de l’Iran, bien au contraire ! Cette propagande de guerre est nauséabonde, intolérable. Nous devons la dénoncer, et le faire d’abord auprès du gouvernement français qui accepte de collaborer sur le plan militaire, économique et culturel avec un pays qui pratique le terrorisme d’Etat. A l' »Europe » sous la coupe de l’OTAN et de la logique impérialiste, nous avons déjà dit NON majoritairement. A une France collabo et prête à s’engager dans des entreprises guerrières pour que puissent se perpétrer tranquillement l’occupation et l’oppression des Palestiniens et d’autres peuples, nous devons également dire NON. Commençons par balayer devant notre porte ! C’est le moment ou jamais de s’adresser aux candidats et de leur exprimer notre refus d’écraser tous ceux qui résistent aux volontés busho-sionistes. Rappel des coordonnées des candidats aux élections présidentielles -M. Nicolas Sarkozy, Place Beauveau. 75008 Paris -Mme Ségolène ROYAL, Siège du PS 282 Boulevard St-Germain -75007 – Paris -M. François BAYROU Assemblée Nationale, 126 rue de l’Université – 75007 – Paris -Mme Dominique VOYNET Sénat 15 rue de Vaugirard -75006 – Paris -Mme Marie-George BUFFET Parti Communiste Français Place du Colonel Fabien -75019 – Paris -M. Olivier BESANCENOT abs LCR-Rouge, 2 rue Richard-Lenoir – 93100 – Montreuil -Mme Arlette LAGUILLER abs Lutte Ouvrière BP 233 – 75865 Paris cedex 18 -M. José BOVE Confédération Paysanne, 104 rue Robespierre. 93170 Bagnolet CAPJPO-EuroPalestine
“ Oh, ciel... Combien de millénaires cela fait-il depuis la dernière fois que j'ai interprété l'entrée en guerre de Zeus avec cette chanson !! "Le Massacre dans l'Arène des Dieux" ! Aaah, quel maître embarrassant que celui que je sers ! „ Hermès, accompagnant au violon l'entrée de Zeus dans l'arène face à Adam – Chapitre 8 Hermès est un antagoniste majeur du manga et de l'anime Valkyrie Apocalypse. C'est le messager des dieux grecs, ainsi que le dixième des Douze Dieux de l'Olympe. Il est donc l'un des fils de Zeus, ainsi que le musicien chargé d'interpréter avec des violons l'air d'entrée en guerre de son père à chaque occasion. Apparence[] Hermès a l'apparence d'un jeune homme plutôt beau aux cheveux noirs, aux yeux rouges et au sourire malicieux. Son visage tout comme son corps est fin et presque maigre, et il porte des tatouages rouges au-dessus de son œil gauche et en-dessous de son œil droit. Sa tenue se compose d'un survêtement d'hôtel bleu clair à petits boutons dorés par-dessus une chemise blanche et une cravate noire, d'une veste noire élégante à grands boutons dorés descendant jusqu'en-dessous de l'arrière des genoux, d'un pantalon noir, de gants blancs très fins et de chaussures cirées noires. Quand il est excité, il lui arrive d'écarter les deux lèvres tout en serrant les dents. Quand il s'énerve, il devient complètement silencieux et garde les mains derrière le dos, mais son regard s'assombrit totalement et son sourire laisse la place à une moue triste. Capacités et pouvoirs[] Puissance divine étant un dieu, Hermès a des aptitudes de combat supérieures à celles des humains. En tant que l'un des Douze Dieux de l'Olympe qui dominent le panthéon grec, il doit être très fort, même comparé aux autres dieux. Grande capacité de compréhension quand un combattant effectue une technique sous les yeux de Hermès, ce dernier est presque toujours capable de l'expliquer en détail, alors que le plus souvent, son grand-frère Arès est complètement perdu. Même quand il s'agit de techniques réalisées pendant que le temps s'était arrêté, Hermès a pu deviner correctement leur déroulement complet. Aura meurtrière après la défaite fatale inattendue de Poséidon contre Kojiro Sasaki, à l'instar des autres dieux de l'Olympe, Hermès était entré dans une grande colère silencieuse. On vit que l'aura dégagée par sa rage semblait être au même niveau que celle du dieu de la guerre Arès et celle du dieu suprême grec Zeus. Contrôle des violons il peut matérialiser des violons à volonté, les faire léviter et jouer avec tous ses violons en même temps, pour reproduire des symphonies à lui seul. Art du violon Hermès est un excellent violoniste, tellement doué que rien qu'à son thème introductif à un seul violon, de grands compositeurs humains comme Jean-Sébastien Bach ou Wolfgang Amadeus Mozart ont reconnu sa musique comme divine. "Le Massacre dans l'Arène des Dieux" par cette technique musicale, les violons que Hermès fait apparaître forment un cercle derrière lui et jouent avec emphase le célèbre chant d'entrée en guerre de Zeus. Anecdotes[] Bien qu'ils soient souvent vus tous les deux ensemble, Hermès semble être l'exact opposé de son grand frère Arès il porte un haut complet et un pantalon, des gants mais pas de couvre-chef ni de cape, il est assez bel homme mais très peu musclé, ses cheveux et ses yeux sont sombres, il n'est pas aussi grand de taille, il prend un air moins agressif, il sourit beaucoup plus souvent, il est moins émotif et il comprend vite ce qui se passe sous ses yeux. Dans la mythologie grecque, le titre de dieu de la musique d'Apollon lui fut offert par Hermès en gage d'amitié. Il est donc cohérent que le musicien accompagnant Zeus puisse être Hermès plutôt qu'Apollon. Hermès semble être une référence à Sébastian de Black Butler, les deux ayant des allures de majordome avec un sourire narquois en toute circonstance, et sont plus dangereux qu'ils ne le font paraitre. PERSONNAGES Combattants humains Qin Shi Huang • Léonidas • Nikola Tesla • Kojiro Sasaki • Jack l'Éventreur • Adam • Tameemon Raiden • Soji Okita • Michel de Nostredame, dit Nostradamus • Grigori Raspoutine • Lü Bu • Simo Häyhä • Sakata no Kintoki, dit Kintaro • Bouddha Combattants divins Zeus • Loki • Apollon • Poséidon • Susanoo • Héraclès • Thor • Vaisravana • Anubis • Odin • Belzébuth • Shiva • Zérofuku • Hajun • Hadès Valkyries Alvitr • Brunehilde • Göndul • Hrist • Thrud • Randgriz • Reginleif • Hlökk • Göll Autres humains et animaux Abel • Arthur Conan Doyle • Caïn • Confucius • Ève • Isami Kondo • Jésus • Lièvre Rouge • Socrate Autres dieux Adamas • Aphrodite • Arès • Benzaiten • Daikokuten • Ebisu • Fukurokuju • Heimdall • Hermès • Hoteison • Hugin et Munin • Jurojin • Protée Démons Incube • Le Serpent Groupes Douze Dieux de l'Olympe • Quatre Sages • Sept Dieux du Bonheur
Musiques 5 minutes à lire Publié le 30/11/21 Partager Joséphine Bakers au Strand Theater, à Broadway, en 1951. Bettmann Archive Au-delà du célébrissime “J’ai deux amours”, la Franco-Américaine compte à son actif de nombreux succès, comme la très latina et très fantaisiste “Conga Blicoti” ou encore le prophétique “Me revoilà Paris”. On ne se lasse pas de la réécouter. Ce 30 novembre, la divine, la scandaleuse Joséphine Baker sera la première femme noire à entrer au Panthéon. Elle sera surtout la première reine de music-hall et, plus généralement, la première artiste de spectacle vivant à rejoindre une longue liste de personnalités majoritairement issues des sciences, de la politique, de la littérature et de la Résistance. Car, derrière l’aura burlesque d’une carrière de strass et de paillettes, sous la fameuse ceinture de bananes qui a longtemps occulté ses nombreux faits d’armes dans la mémoire collective, se cachait une authentique héroïne française. Danseuse certes débridée, elle fut aussi une féministe avant l’heure, une châtelaine humaniste, la mère adoptive d’une tribu cosmopolite, une figure de la Résistance en France et de la lutte antiraciste aux États-Unis, une fervente patriote qui mit sa notoriété et sa fortune au service du renseignement pendant la guerre, allant jusqu’à refuser la proposition du président de Gaulle d’éponger ses dettes en remerciement de son engagement citoyen. Retour en cinq titres sur le destin hors norme de la plus illustre étoile noire » de la chanson française, entre charleston sauvage et mambo chic, fox-trot félin et variété bucolique. 1. “After I Say I’m Sorry” 1927 Recrutée à Broadway pour ses mimiques et gesticulations burlesques, Joséphine Baker s’est d’abord imposée en France comme danseuse, au Théâtre des Champs-Élysées, avec son charleston de sauvageonne dans La Revue nègre, puis aux Folies Bergère, en faisant valdinguer sur ses hanches sa célébrissime ceinture de bananes. En 1926, soit moins d’un an après son arrivée en France, celle que le Tout-Paris appelle désormais la Vénus d’ébène » ou l’Étoile noire » est l’incarnation sulfureuse d’un certain fantasme colonialiste, qu’elle moque jusqu’à la caricature, tout en rêvant d’une carrière moins dévêtue. La rencontre de Giuseppe Pepito » Abatino, comte » de pacotille devenu son amant et son impresario, lui a ouvert les horizons. C’est lui qui la lance dans la chanson, en lui faisant enregistrer des reprises de chansons populaires américaines, mais aussi des titres inédits, comme cet After I Say I’m Sorry, futur standard de jazz qui sera notamment repris par Ella Fitzgerald et Frank Sinatra. 2. “J’ai deux amours” 1930 J’ai deux amours, mon pays et Paris... » chante-t-elle sur la scène du Casino de Paris en 1930, lors de son premier récital public. Au Paris des Années folles qui lui a ouvert les bras, l’enfant pauvre de Saint-Louis devenue star du music-hall déclare sa flamme et sa reconnaissance, consciente qu’elle n’aurait pu connaître une telle ascension dans l’Amérique ségrégationniste. Pour l’occasion, le directeur du Casino lui a offert un léopard nommé Chiquita le cliché exotique demeure, mais grâce à son Pepito, elle a troqué le pagne contre une robe couture. La revue Paris qui remue triomphe pendant treize mois, l’imposant enfin comme une vraie chanteuse, et la chanson de Vincent Scotto va devenir le titre totémique auquel elle reviendra toujours au fil de sa carrière – comme en 1953, avec cette nouvelle version enregistrée avec l’orchestre de Jo Bouillon. Après guerre, meurtrie par une série d’incidents discriminatoires survenus au cours ses tournées aux États-Unis, cette fervente patriote qui a œuvré dans la Résistance va même modifier les paroles du refrain, pour chanter J’ai deux amours, mon pays, c’est Paris... » 3. “La Conga Blicoti” 1936 Que ce soit en campant la danseuse Banania » ou la Petite Tonquinoise, du nom de sa chanson assez controversée qui participait de la fantasmagorie coloniale sur la femme asiatique, Joséphine Baker a commencé à jouer avec les stéréotypes et les langues dès le début de sa carrière. Dans le film Princesse Tam-Tam, sorti en 1935, la scène du film qui a inspiré Woody Allen dans Midnight in Paris, elle campe une jeune danseuse tunisienne qui se fait passer pour une rani indienne dans la bonne société parisienne. Elle y chante et danse ! la très latina Conga Blicoti, sur les congas cubaines des populaires Lecuona Cuban Boys, dans un sabir franco-espagnol sans queue ni tête, mais qui sonne, percussif, plein de fantaisie, sucré et acidulé comme le cocktail Conga Blicoti inspiré par la chanson cognac, liqueur de banane et citron vert. 4. “Dans mon village” 1953 Française depuis son mariage avec le riche courtier Jean Lion, la très parisienne Joséphine Baker, muse des surréalistes et amie des grands couturiers Balmain, Dior, Guerlain..., qui se balade en ville avec son léopard, vit son rêve de campagne avec la même exubérance. Elle a loué le château des Milandes, en Dordogne, dès 1937, s’y est réfugiée sous l’Occupation, y a caché des armes et des Juifs dont son ex-époux, Jean Lion pendant la guerre. Avec le chef d’orchestre Jo Bouillon, son quatrième mari, elle l’a finalement acheté en 1947, ainsi que le bourg attenant. Car la châtelaine a la folie des grandeurs des infrastructures modernes, un grand parc d’attractions, le premier du genre en France, des animaux exotiques en pagaille et une batterie de gouvernantes pour élever leurs douze enfants adoptés sur les cinq continents et vivre son utopie de village du monde ». Dépassé, Jo Bouillon demandera le divorce en 1961. Criblée de dettes, elle finira par perdre le château et en sera expulsée manu militari en 1969. 5. “Me revoilà Paris” 1975 SDF, la chanteuse a pu retomber sur ses pieds avec l’aide de Grâce Kelly. La princesse de Monaco a en effet mis à sa disposition une résidence à Roquebrune-Cap-Martin. Ruinée, diminuée physiquement, la chanteuse de 62 ans doit pourtant remonter sur scène pour subvenir aux besoins de sa tribu arc-en-ciel. Invitée lors de galas de charité sur le Rocher, régulièrement programmée par son ami Jean-Claude Brialy à La Goulue, cabaret de Montmartre, elle donne aussi des concerts en Europe et aux États-Unis le Carnegie Hall de New York en 1973... jusqu’à ce Me revoilà Paris, entonné avec panache sur la scène de Bobino en mars 1975. C’est Brialy qui a eu l’idée de ce grand retour parisien une revue autobiographique, chorégraphiée avec quarante danseurs, pour le jubilé de ses cinquante ans de carrière. Lors de la première, les époux Grimaldi, Mick Jagger, Sophia Loren, Tino Rossi et tous les spectateurs présents lui font un triomphe. J’ai peut-être vieilli / Mais il n’est pas dit encore / Que moi je flanche / Et peut-être qui sait / Je finirai ma vie sur les planches », chante-t-elle devant un public en extase. Le 9 avril, au soir de la quatorzième représentation, elle s’endort et sombre dans un coma dont elle ne se réveillera pas, terrassée par un AVC dans un rêve de plumes et de strass. Cinq podcasts sur Joséphine Baker 5 minutes à lire Panthéon Partager Contribuer
Traîne tes couilles Re, re, regarde donc Cré nom de nom La petite dame au second Qui est à son balcon Qui a les yeux fixés comme un canon Sur le deuxième bouton De mon pantaki, de mon pantaka De mon pantako, de mon pantalon. Refrain Train’ tes couilles par terre Prends ta pine à deux mains, mon cousin Nous partons en guerre A la chasse aux putains Ce n’est pas par le cul Que se font les cocus Mais c’est bien par le con Que les cocus se font. Re, re, re, regarde donc Cré nom de nom Les beaux nichons Cré nom de Dieu Les jolis yeux ! Cré nom d’un chien Et toi, et moi, ça ferait du bien ! Elle est pucelle bis Non, non, non, ce n’est pas vrai Y a-t-il des cocus parmi nous ? Lesquels sont-ce ? bis Y a-t-il des cocus parmi nous ? Tous, tous, tous !
chanson la guerre des boutons mon pantalon