Elleintervient comme expert Discrimination au Conseil de l’Europe. Dounia Bouzar, Ils cherchent le paradis, ils ont trouvĂ© l’enfer, Ed. de l'Atelier, octobre 2014, 208 p., 16 €. Syrie Ilstenaient leurs parents en haute estime, ils les aimaient et les chĂ©rissaient, respectaient les commandements de Dieu Ă  cet Ă©gard, et n’oubliaient jamais que le Paradis se trouve aux pieds des mĂšres. Pour nos prĂ©dĂ©cesseurs, il ne s’agissait pas que de belles paroles; il s’agissait de leur clef pour le Paradis, et ils le savaient. jecey biien que cette viie est ephemere ,, que le paradiis se trouve sous les piieds de ma mĂšre pour les 9 moiis que tu m'a porter ,, pour toutes les foiis ou tu ma proteger ,, pour toutes les choses que tu ma achetez ,, pour tout l'amour que tu m'a donner: jporte haut mon embleme yemaaaaaaa je t''aiiimex] Cest elle qui entretient l’enfant, qui le nourrit de tout son corps et aux dĂ©pens de sa santĂ©, qui s’expose au danger lors de l’accouchement et de l’allaitement, ce qui entrave sa libertĂ© et rĂ©duit l’espace de son mouvement. Dans ce sens, la Tradition ProphĂ©tique dit que «Le Paradis est sous les pieds des mĂšres». Le paradis se trouve sous les pieds des mĂšres" : peur et fascination du fĂ©minin en islam (analyse jungienne) Quel est le lien entre l'expression "Le paradis se trouve sous les pieds des mĂšres" dont sont trĂšs fiers les musulmans, et la place de la femme en islam ? 1. et 2. Wallpaper 3. MosquĂ©e de Constanta en Roumanie 4. Grande MosquĂ©e de Paris 5. et 6. La lune Ă©tait le InterprĂ©tationdu rĂȘve Famille. Les membres de notre famille peuplent Ă©videmment nombre de nos rĂȘves. Quand ils ne sont pas travestis, ils peuvent apparaĂźtre sous leur forme naturelle. Dans l’interprĂ©tation du rĂȘve, il est difficile de savoir s’ils sont prĂ©sents en tant que parts de nous-mĂȘme, en tant qu’imagos (reprĂ©sentation . Si vous n'ĂȘtes pas musulman, vous n'auriez jamais dĂ» voir cet objet. Et vous n'auriez peut-ĂȘtre jamais su qu'il continue de faire l'objet d'un que quelque chose vous dit dĂ©jĂ  que cet objet, qui se trouve dans le lieu le plus saint de l'islam Ă  la Mecque, reprĂ©sente quelque chose d'un peu particulier. Et que cette façon de le reprĂ©senter signifie quelque chose en que c'est ?Il s'agit de la Pierre Noire al-កajar al-Aswad, une relique enchĂąssĂ©e dans la Kaaba, autour de laquelle les musulmans tournent lors du pĂšlerinage, le Hajj, un des moments les plus forts de leur vie de croyant. La doctrine musulmane ne la dote pas de "pouvoirs" mais les musulmans doivent, dans la mesure du possible, l'embrasser et la caresser. Selon l'islam, c'est une pierre tombĂ©e du paradis Ă  l'Ă©poque d'Adam et Eve pour leur indiquer oĂč construire un autel. Elle aurait Ă©tĂ© blanche Ă  l'origine, et noircie Ă  cause des pĂ©chĂ©s des les faits, il s'agit d'un bĂ©tyle, une de ces pierres lunaires qui faisaient l'objet d'un culte dans certaines cultures archaĂŻques. En effet, le cycle lunaire Ă©tant similaire au cycle fĂ©minin, certaines tribus faisaient un lien Ă©vident entre la pierre lunaire et la lune d'une part, et d'autre part la fĂ©conditĂ© des femmes, importante dans toutes les doctrines mais encore davantage dans les cultures encore fortement imprĂ©gnĂ©es des rĂ©flexes du nomadisme comme les bĂ©douins, puisqu'il fallait remplacer les hommes morts Ă  la chasse ou lors de l'attaque d'une autre Pierre Noire pourrait bien ĂȘtre une relique d'un de ces cultes de la fĂ©conditĂ© qui avaient cours au Moyen-Orient en mĂȘme temps que d'autres types de spiritualitĂ©s, et dans lequel est nĂ© l'islam. Ce qui pourrait en dire long sur les fondements vĂ©ritables de cette mĂ©tĂ©orite est enchĂąssĂ©e dans un cadre en argent. Autrefois, le cadre a pu ĂȘtre rĂ©alisĂ© dans d'autres matĂ©riaux mais la forme, elle, a toujours Ă©tĂ© la mĂȘme. Un ancien cadre de la pierre noire, conservĂ© au MusĂ©e du Palais de Topkapı, Ă  Istanbul. source WikipĂ©dia C'est grĂące aux appareils photo mais surtout Ă  internet si nous pouvons prendre connaissance de l'existence de cet objet aujourd'hui. Aujourd'hui, pour la premiĂšre fois dans l'histoire, le grand public a l'occasion de prendre connaissance de l'existence de cet objet, de son contexte, et de l'analyser Ă  la lumiĂšre de certains mĂ©canismes mis Ă  jour en et la Pierre NoireIl faut savoir qu'avant l'arrivĂ©e de l'islam, durant la pĂ©riode de la "jahiliya", "ignorance", la Kaaba contenait pas moins de 360 idoles. Selon l'islam, la Pierre Noire est la seule idole que Mahomet ne dĂ©truisit pas lorsqu'il revint Ă  la Mecque avec ses compagnons, aprĂšs avoir reçu sa "rĂ©vĂ©lation".Mieux, il l'embrassa. Illustration de 1315 tirĂ©e du Jami al-tawarikh, inspirĂ©e du rĂ©cit de la remise en place de la pierre noire par Mahomet et les aĂźnĂ©s des clans de La Mecque source WikipĂ©dia Dans la version musulmane de l'histoire, c'est pour cette raison que dĂ©sormais, les musulmans doivent, si possible, embrasser et caresser cet objet, au pire tendre le bras vers lui s'ils sont trop loin pour l' l'usage pourrait ĂȘtre bien plus ancien et signifier quelque chose de fondamental sur la force d'attraction de l'islam sur un certain type de psychĂ©. Vous n'avez toujours pas compris de quoi il s'agit ? Qu'est-ce que ce symbole, celui de la lune, omniprĂ©sent en islam, du calendrier lunaire et du "mois sacrĂ© de l'islam", le Ramadan, qui correspond au 9Ăšme mois de ce calendrier lunaire disent sur la place du fĂ©minin en islam ?Quel est le lien entre l'expression "Le paradis se trouve sous les pieds des mĂšres" dont sont trĂšs fiers les musulmans, et la place de la femme en islam ? 1. et 2. Wallpaper 3. MosquĂ©e de Constanta en Roumanie 4. Grande MosquĂ©e de Paris 5. et 6. La lune Ă©tait le symbole propre Ă  Baal, une divinitĂ© sĂ©mitique ancienne dont parle la Bible en des termes peu flatteurs Voici l'analyse reçue d'un passionnĂ© de psychanalyse et de au prĂ©alable que la forme de spiritualitĂ© des musulmans dans les pays occidentaux a pris des formes moins religieuses... que militantes. Mais ce militantisme s'enracine dans la forme religieuse de l'islam. C'est pourquoi il nous semble intĂ©ressant de questionner les racines religieuses de ce militantisme, pour comprendre de quoi il procĂšde et nous Ă©clairer sur les ressorts psychologiques de celui-ci. - Le symbole de l'Islam est le croissant - La pierre de la Ka'aba aurait une forme de yoni/vagin SchĂ©matiquement - La lune = symbole du fĂ©minin ; - Dans la FlĂ»te enchantĂ©e de Mozart, la lune est le symbole de la Reine de la nuit qui incarne le mal et les instincts primitifs ; - En psychanalyse, il y a le fantasme de rĂ©gression, une fixation sur un Ă©tat primitif dont l'Ă©tape fantasmĂ©e ultime est le retour dans l'utĂ©rus cela implique dissolution dans l'indiffĂ©renciĂ©, l'instinctif et le collectif c'est pratique, on ne pense pas, on n'est responsable de rien du tout ; - Cela signifie une emprise fantasmĂ©e de l'imago parentale de la mĂšre qui apparaĂźt comme un archĂ©type de monstre dĂ©vorant, tyrannique, incestueux, etc. - Dans la situation oĂč l'homme est sous l'emprise totale de ce fantasme, de cet archĂ©type, il y a l'Ă©quivalent d'une forme de possession magique, qui est en fait un Ă©tat pathologique de la psychĂ© dĂšs le XIXe s. on appelait ça l'hystĂ©rie - on notera que de façon savoureuse qu'hystĂ©rie et utĂ©rus ont la mĂȘme racine ; - Cet archĂ©type est brutal, violent, tyrannique, sans concession, hystĂ©rique. En un mot totalitaire ; - Dans la psychanalyse jungienne, les forces de la psychĂ©, et surtout les imagos de cette sorte peuvent vite prendre un caractĂšre religieux et divin, quand le patient est submergĂ©, dĂ©vorĂ© par cette instance de son psychisme qui est un reflet terriblement dĂ©formĂ© de la mĂšre rĂ©elle ; - L'emprise d'une telle force inconsciente de l'individu implique une immaturitĂ© et un archaĂŻsme profond de sa psychĂ© il est incapable de se dĂ©tacher de la mĂšre, fantasmĂ©e comme rĂ©elle donc une incapacitĂ© de se construire comme individu libre, entier, appartenant totalement au monde et Ă  la vie ; - Car ne nous y trompons pas, la rĂ©gression ultime est un Ă©tat de mort, un Ă©tat de non progrĂšs ; - Lorsque quelque chose nous terrifie et nous Ă©crase, on a vite fait de le transformer en divinitĂ© qu'on vĂ©nĂšre Ă  plat ventre cf. les formes primitives de spiritualitĂ©, appelĂ©es "mysterium tremendum" ; - Mais aussi on a en soi une rĂ©volte sourde et profonde contre cette entitĂ© qui nous Ă©crase et nous broie, et qui ajoute Ă  la cruautĂ© et Ă  la mĂ©chancetĂ© que ce mauvais "Dieu" nous inspire. - La tendance dans ces cas-lĂ  et de chercher Ă  tuer et Ă  avilir ce qui reprĂ©sente ce fantasme ou cette instance car bien sĂ»r on est dans le dĂ©ni et on ne s'attaque pas aux sources du problĂšme mais Ă  ses reprĂ©sentations, Ă  ses projections. C'est trĂšs pratique et lĂąche mais c'est une façon de fonctionner courante chez les hommes ; - Qu'est-ce qui reprĂ©sente de façon concrĂšte ce que Jung appelle l'archĂ©type de la MĂšre Terrible chez les musulmans ? La femme ; - VĂ©nĂ©ration outranciĂšre de la mĂšre chez les musulmans et humiliation et maltraitance de la femme en gĂ©nĂ©ral sur laquelle on se venge d'ĂȘtre castrĂ© par le monstre Allah qui est en fait une immonde goule dĂ©vorante. - On tue, on bat, on lapide, on humilie, et on force la femme Ă  adopter une vĂȘture dĂ©gradante tout en se construisant de toute piĂšce une super-virilitĂ© de pacotille, dĂ©risoire par rapport Ă  la puissance de la possession et de la soumission Ă  l'archĂ©type de la mĂšre terrible, Ă  cet obscur vagin qui terrifie, et qui est de façon ambiguĂ« la principale modalitĂ© d'expression cette ultra-virilitĂ© de ce monstre fĂ©minin hystĂ©rique. - PrĂ©caution on n'entend pas par lĂ  que la femme ou la mĂšre sont des forces obscures dĂ©vorantes et hystĂ©riques c'est l'image, l'imago, le fantasme que s'en forge l'homme soumis Ă  cette instance psychique qui agglutine ces qualitĂ©s nĂ©gatives sur l'image de la femme et de la mĂšre qui dans le rĂ©el n'ont rien Ă  voir avec tout ça sauf cas spĂ©cifique - Alors qu'est-ce qu'on fait quand quelque chose est sacrĂ© et terrifiant, trop grand pour ĂȘtre exposĂ© aux yeux des mortels on le voile voir le voile d'Isis, et le voile du Temple - Le musulman terrifiĂ© voile sa femme parce qu'elle lui fait peur ; - De la mĂȘme façon que la Ka'ba est voilĂ©e ; - Quel est le plus grand devoir du croyant ? Tourner autour de cette reprĂ©sentation de matrice pour retourner vers la matrice originelle, la fameuse "Oumma" ou communautĂ© des "croyants" musulmans dont le nom vient de "Oum" et qui veut dire la "MĂšre" en arabe, cette matrice symbolique oĂč les musulmans sont tous "frĂšres". - La "Oumma", c'est le collectif, le collectif Ă  la source de toutes les pires horreurs de l'humanitĂ© lynchage, hystĂ©rie de masse, fascisme ; Le rituel de la "Lapidation de Satan", une des Ă©tapes du pĂšlerinage Ă  la Mecque, est l'occasion d'une transe collective... et de bousculades et de piĂ©tinements. En 2015, il y a eu plus de 2 000 morts lors de ce rituel. La circumambulation Ă  la Mecque - La psychologie des profondeurs dĂ©montre que le cercle et en particulier les cercles concentriques avec un centre sont des figurations de la psychĂ© voir les mandalas tibĂ©tains. - La rotation autour de la ka'aba est un symbole en acte de rĂ©gression ultime et de dĂ©sir d'involution. A la lumiĂšre de la culture jungienne, la religion musulmane est la religion de la sauvagerie, de la barbarie, de la violence et du primitif un point de non retour, une apocalypse en puissance pour le monde et l'Occident. Ce retour dans l'indiffĂ©renciĂ© est peut-ĂȘtre ce qu'il faut comprendre dans l'Ă©motion de cet homme converti Ă  l'islam Le christianisme valorise pour Jung l'assimilation de la part de divin en l'homme sans pour autant se prendre soi-mĂȘme pour un dieu, ce qui est tentant mais qui est la garantie absolue de sombrer dans la folie il faut rester conscient que l'on n'est qu'un homme, assimilation de la part de divin en l'homme pour construire un homme total et libre cela s'appelle individuation et doit ĂȘtre le stade ultime de l'Ă©volution de l'homme. Et le Christ qui se sublime et se transforme en autre chose, symbolise cela. Il meurt et renaĂźt avec quelque chose de plus, de plus grand, qui le sublime. La part de divin en lui n'est pas refoulĂ©e ni source de terreur, elle est intĂ©grĂ©e harmonieusement. Et Dieu dans ce cas n'est pas amour au sens miĂšvre du terme mais au sens oĂč il s'intĂšgre avec paix et harmonie Ă  l'ensemble de la psychĂ©. Autrement dit le disciple du Christ apprend au premier chef Ă  s'aimer lui-mĂȘme dans sa totalitĂ© d'homme. - Ce qui n'implique aucune complaisance coupable envers soi. Juste de la bienveillance et une acceptation de soi dans sa totalitĂ©. Le drame de l'homme psychologiquement sain est qu'il est scindĂ©, nĂ©vrosĂ©, coupĂ© d'une part de lui-mĂȘme Ă  cause de mĂ©canismes trĂšs normaux et souvent salutaires de refoulement. Le christianisme propose de renaĂźtre Ă  soi, notamment par le baptĂȘme, et de reconstruire cette totalitĂ© perdue. Symboliquement, le judĂ©o-christianisme est choix de la vie, de la responsabilitĂ© et de la libertĂ©. Ce que l'Islam n'offre pas. NB1 Nous essaierons de dĂ©crypter les raisons pour lesquelles les femmes musulmanes dĂ©cident de leur propre chef de se voiler dans un autre article en nous plongeant dans leurs tĂ©moignages. NB2 Il ne s'agit pas de faire ici l'Ă©loge du christianisme ni d'inciter Ă  la conversion au christianisme. Simplement il nous a semblĂ© intĂ©ressant de reproduire ce passage, qui propose un point de vue - parmi d'autres et ne valant pas moins que d'autres - sur la doctrine chrĂ©tienne et notamment sur le symbole de la rĂ©surrection. Le bon comportement envers la mĂšreÉcrit parMĂązine At-TouwĂźjryTexte prononcĂ© par cheikh Abdel Moun'im, Ă©lĂšve de cheikh SĂąleh Al-FawzĂąn, en tant que discours du Vendredi. Qu’Allah les prĂ©serve.Traduit de l’arabe parAbu Hamza Al-GermĂąnyۚ۱ Ű§Ù„ŰŁÙ… ŰšŰ§Ù„Ù„ŰșŰ© Ű§Ù„ÙŰ±Ù†ŰłÙŠŰ© »ŰȘŰŁÙ„ÙŠÙ Ù…Ű§ŰČن Ű§Ù„ŰȘÙˆÙŠŰŹŰ±ÙŠŰȘŰ±ŰŹÙ…Ű© ŰŁŰšÙˆ Ű­Ù…ŰČŰ© Ű§Ù„ŰŹŰ±Ù…Ű§Ù†ÙŠŰšÙŰłÙ’Ù…Ù Ű§Ù„Ù„ÙŽÙ‘Ù€Ù‡Ù Ű§Ù„Ű±ÙŽÙ‘Ű­Ù’Ù…ÙŽÙ€Ù°Ù†Ù Ű§Ù„Ű±ÙŽÙ‘Ű­ÙÙŠÙ…ÙAu nom d’Allah,L’Infiniment MisĂ©ricordieux, Le TrĂšs MisĂ©ricordieux Introductionouange Ă  Allah, celui qui a ordonnĂ© de faire le bien envers les parents et de leur adresser une parole respectueuse. J’atteste qu’il n’y a pas de dieu qui mĂ©rite d’ĂȘtre adorĂ© Ă  part Allah, unique sans associĂ©. Tel est Allah Votre Seigneur connaĂźt mieux ce qu’il y a dans vos Ăąmes. Si vous ĂȘtes bons, il est certes celui qui pardonne Ă  ceux qui se repentent. ïŽżLe voyage nocturne, J’atteste que Muhammad est son serviteur et son messager. Allah l’a envoyĂ© en tant qu’annonciateur et avertisseur, que la priĂšre et le salut d’Allah soient sur lui ainsi que sur sa famille et ses compagnons. Ceux-lĂ  qui ont Ă©tĂ© reconnaissants envers Allah ainsi qu’envers leurs parents, ceux-lĂ  mĂȘme leurs efforts seront reconnus. Enfin, que la priĂšre et le salut soient aussi sur ceux qui les ont suivis de la meilleure façon et ce jusqu’à la fin des temps. Ô vous les frĂšres croyants ! Je conseille, autant Ă  vous qu’à moi, de craindre Allah, ainsi de s’appliquer Ă  lui obĂ©ir.ïŽŸĂ” vous les Hommes ! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul ĂȘtre, et a créé de celui-ci son Ă©pouse, et qui de ces deux-lĂ  a fait rĂ©pandre sur la Terre beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes, Allah vous observe parfaitement. ïŽż Les Femmes, vous les croyants ! Craignez Allah et parlez avec droiture, il vous amĂ©liorera vos actions et vous pardonnera vos pĂ©chĂ©s. Celui qui obĂ©it Ă  Allah et Son Messager obtient certainement une immense rĂ©ussite. ïŽż Les CoalisĂ©s, existe une personne qui ne cesse de se dĂ©vouer et de se sacrifier. Combien s’est-elle affligĂ©e pour que tu sois heureux ! Combien s’est-elle affamĂ©e pour que tu sois rassasiĂ© ! Combien a-t-elle pleurĂ© pour que tu sois joyeux ! Combien est-elle restĂ©e Ă©veillĂ©e pour que tu dormes ! Combien a-t-elle supportĂ© de difficultĂ©s pour que tu sois tranquille ! Lorsque tu es heureux, elle l’est aussi, et lorsque tu es triste, elle l'est aussi. Lorsque tu es accablĂ© par les malheurs, sa vie n’est alors que soucis. Son souhait est que tu vives heureux, content, satisfait et agréé des autres. Cette personne est une personne faible qui donne sans rien demander en retour, qui se dĂ©voue sans attendre de remerciements. As-tu entendu parler d’une personne qui t’aime plus que ses biens ? Mais non ! PlutĂŽt qui t’aime plus que sa vie ? Mais non ! PlutĂŽt plus que sa propre personne ? Si, cette personne t’aime plus que sa propre personne ; cette personne n’est autre que ta noble mĂšre. Une succession d’actes d’amourEn effet, cher serviteur musulman, cette personne est ta mĂšre. Ô toi -qu’Allah te prĂ©serve - mĂ©dite sur ta situation lorsque tu Ă©tais enfant et remĂ©mores ta faiblesse. Ta mĂšre te porta dans son ventre durant neuf mois, subissant pour toi peine sur peine. Elle te porta pĂ©niblement et accoucha dans la douleur. Plus tu te dĂ©veloppais et plus elle s’affaiblissait. Tu lui fis subir plus que ce qu’elle pouvait supporter, tant son corps Ă©tait faible et son Ă©tat en fragilitĂ© extrĂȘme. Pendant l’accouchement, elle perçut la mort de ses propres yeux. Ce fut, en effet un accouchement chargĂ© de soupirs, de gĂ©missements, d’angoisses et de souffrances. MalgrĂ© tout, elle continua Ă  patienter encore et encore, et lorsqu’elle t’aperçut prĂšs d’elle et te serra contre sa poitrine, et lorsqu’elle sentit ta respiration se rĂ©itĂ©rer, elle fit mine d’oublier ses souffrances et ses douleurs. À l'heure oĂč elle te vit, elle reposa tous ses espoirs sur toi, et vit en toi tous les plaisirs et la beautĂ© de la vie. Ensuite, elle se consacra Ă  ton service nuit et jour. Elle sacrifia sa santĂ© pour te nourrir, elle s’amaigrit pour ta croissance, elle s’affaiblit pour te rendre fort. Ta nourriture fut son lait, ton foyer fut son giron, et ses deux bras te portĂšrent. Elle t’entoura d’affection et prit soin de toi. Elle restait affamĂ©e pour te rassasier et restait Ă©veillĂ©e pour que tu dormes. Elle fut clĂ©mente et tendre avec toi. Si jamais elle s’absentait, aussitĂŽt tu la demandais, et lorsqu’elle se dĂ©tournait de toi, aussitĂŽt tu l’appelais Ă  l’aide, et lorsque te touchait un mal, aussitĂŽt tu l’appelais au secours. Tu avais l’impression qu’elle dĂ©tenait tout le bien. Tu t’imaginais que le mal ne pouvait pas t’atteindre lorsqu’elle te serrait contre sa poitrine ou lorsqu’elle portait le regard sur toi. Elle te prĂ©fĂ©rait Ă  elle-mĂȘme en se privant de la nourriture et du repos pour les mettre Ă  ta disposition. Quand ton sevrage fut menĂ© Ă  son terme au bout de deux annĂ©es, et au moment oĂč tu commenças Ă  marcher, elle fit cercle autour de toi avec une grande prĂ©venance, en te suivant du regard et en restant toujours derriĂšre toi, de peur qu’un mal te touche. Puis lorsque tu grandis, son espoir en toi grandit Ă©galement. Elle considĂšre ton bonheur plus cher que les biens de cette vie, quand bien mĂȘme ils lui auraient Ă©tĂ© entiĂšrement proposĂ©s. Toutes choses sont possibles pour ton confort, mĂȘme sa propre personne n’a plus grande valeur. En effet, elle prĂ©fĂ©rerait choisir la mort pour que tu vives en bonne santĂ©. La bontĂ© envers elle confirmĂ©e par le ProphĂšte de l’islam ï·ș‬Ahmad, An-Nassùï, et Ibnu MĂąjah rapportent d’aprĂšs Mou’ñwiya As-Soulamy t qui a dit Je suis allĂ© chez le Messager d’Allah et je lui dis - Ô Messager d’Allah ! Je veux accomplir le djihad en ta compagnie en vue du Visage d’Allah et la demeure de l’ Malheur Ă  toi ! Ta mĂšre est-elle toujours vivante ? RĂ©torqua t-il oui. RĂ©pondis-je. - Retourne prĂšs d’elle et sois bon envers elle. Dit-il ensuite. Ensuite, je vins lui parler de l’autre cotĂ©, et je lui rĂ©pĂ©tai - Ô Messager d’Allah ! Je veux accomplir le djihad en ta compagnie en vue du Visage d’Allah et la demeure de l’au-delĂ . - Malheur Ă  toi ! Ta mĂšre est-elle toujours vivante ? RĂ©torqua t-il alors. - oui, ĂŽ Messager d’Allah ! Retourne donc prĂšs d’elle et sois bon envers elle. Dit-il je me tins face Ă  lui pour lui parler, et je lui rĂ©itĂ©rai - Ô Messager d’Allah ! Je veux accomplir le djihad en ta compagnie en vue du Visage d’Allah et la demeure de l’au-delĂ . - Malheur Ă  toi ! Ta mĂšre est-elle toujours vivante ? RĂ©torqua t-il alors. - oui, ĂŽ Messager d’Allah ! RĂ©pondis-je. - Malheur Ă  toi ! Agrippe-toi Ă  ses pieds, c’est lĂ  que se trouve le paradis. RĂ©torqua t-il enfin. » Fin du hadith Mais si ! Je jure par le Seigneur de la Kaaba, ceci est bel et bien le paradis Agrippe-toi Ă  ses pieds, c’est lĂ  que se trouve le paradis.» Muhammad Ibnu Al-Mounkadir a dit J’ai passĂ© ma nuit Ă  masser les pieds de ma mĂšre, alors que mon frĂšre Omar a passĂ© la sienne en priĂšre ; sa nuit ne me comblait pas autant que la mienne. » D’aprĂšs Ibnu Omar t qui a dit Un homme, est venu voir le Messager d’Allah et dit Ô Messager d’Allah ! Je suis venu pour accomplir le djihad en ta compagnie en vue du Visage d’Allah et la demeure de l’au-delĂ . Je suis venu auprĂšs de toi en laissant mes parents en pleurs. » Il dit alors Retourne les voir, et fais-les rire comme tu les as fait pleurer. » RapportĂ© par Ibnu MĂąjah et authentifiĂ© par Al-AlbĂąny. D’aprĂšs Anas Ibnu Nadr Al-Achja’y qui dit Une nuit, la mĂšre de Ibnu Mass’ûd qu’Allah l’agrĂ©e lui demanda de l’eau. À son retour, il lui apporta de l’eau, mais il la trouva en plein sommeil. Il resta immobile auprĂšs d’elle jusqu’au petit matin.» De mĂȘme, lorsqu’Abu MĂ»ssa Al-Ach’ary et Abu Amir vinrent voir le Messager d’Allah, ils lui firent allĂ©geance et se convertirent Ă  l’islam. Ensuite, le ProphĂšte ï·ș‬ leur demanda Qu’est devenue une des femmes de votre tribu qu’on prĂ©nomme unetelle... ? » Ils rĂ©pondirent Nous l’avons laissĂ©e chez elle. » Le ProphĂšte ï·ș‬ dit Sachez qu’Allah lui a absout ses pĂ©chĂ©s. » Ils dirent Pour quelle raison, ĂŽ Messager d’Allah ? » Il rĂ©pondit Pour sa bontĂ© envers sa mĂšre. » Le ProphĂšte ï·ș‬ dit ensuite Un jour, alors que sa mĂšre Ă©tait une trĂšs vieille dame, un envoyĂ© est venu les avertir qu’un ennemi s’apprĂȘtait Ă  les envahir. DĂšs lors, elle porta sa mĂšre sur son dos, puis lorsqu’elle fatiguait, elle la reposait, en plaçant le flanc de sa mĂšre contre son ventre et en plaçant ses pieds sous les pieds de sa mĂšre craignant qu’elle se brĂ»le, car le sol Ă©tait brĂ»lant, et ceci, jusqu’à ce qu’elle soit sauvĂ©e. » RapportĂ© par AbdarrazzĂąq dans son recueil. Les pieux prĂ©dĂ©cesseurs et leurs mĂšres Cette mĂšre, ĂŽ toi qui souhaites la rĂ©ussite, agrippe-toi donc Ă  ses pieds, c’est lĂ  que se trouve le paradis. En effet, Ibnu Omar t a dit Ă  une personne as-tu peur de pĂ©nĂ©trer en enfer et aimerais-tu entrer au paradis ? » Il rĂ©pondit oui. » Il lui dit Sois bon envers ta mĂšre. Je jure par Allah que si tu lui adresses des paroles douces et tu la pourvois en nourriture, alors tu entreras certainement au paradis, mais ceci, tant que tu Ă©viteras les actions qui ont les consĂ©quences regrettables. » cela signifie les pĂ©chĂ©s capitaux les pĂ©chĂ©s qui mĂšnent Ă  la perdition. La bontĂ© est la vertu des pieux et la conduite des connaisseurs. Ibnu Al-Hassan At-TamĂźmy a voulu tuer un scorpion, mais ce dernier pĂ©nĂ©tra dans un trou. Il y introduisit ses doigts Ă  sa suite et le scorpion le piqua. On lui demanda le pourquoi de son geste, il rĂ©pondit J’ai craint qu’il ressorte et qu’il pique ma mĂšre. » Muhammad Ibnou SĂźrĂźne a dit le prix du palmier atteignit mille dirhams au temps d’OthmĂąne Ibnu AffĂąne t. OussĂąma Ibnu ZaĂŻd t opta pour un palmier et l’acheta. Ensuite, il l’évida pour en extraire son cƓur cƓur de palmier qu’il donna Ă  manger Ă  sa mĂšre. On lui dit Qu’est-ce qui t’a amenĂ© Ă  faire cela sachant que le prix du palmier a atteint mille dirhams ?! » Il rĂ©torqua Ma mĂšre me le demanda, et il n’y a pas une chose qu’elle me demande et que je peux accomplir, sans que je le lui ramĂšne. » La mĂšre d’Abbullah Ibnu Awne l’appela puis il haussa la voix sur elle. Il affranchit deux esclaves Ă  cause de son geste. De mĂȘme, ZĂźne Al-AbidĂźne Ă©tait la plus bienfaisante des personnes envers sa mĂšre. MalgrĂ© cela, il ne mangeait pas avec elle dans un mĂȘme plat. On lui demanda tu es la personne la plus bienfaisante envers ta mĂšre, pourtant on ne te voit pas manger avec elle dans un mĂȘme plat ?! » Il rĂ©torqua J’ai peur que ma main s’empresse de prendre un aliment sur lequel elle a des vues, et par ce geste, je lui aurais dĂ©sobĂ©i. Sachez qu’il y a encore trĂšs peu de temps, il y avait une communautĂ© chez laquelle on ne trouvait pas de personnes qui habitent Ă  l’étage au-dessus alors que leurs mĂšres habitaient Ă  l’étage au-dessous. » Ce paradis, ĂŽ toi qui le demandes, agrippe-toi donc aux pieds de ta mĂšre, c’est lĂ  qu’il se trouve. At-TirmidhĂź rapporte un hadith qu’il a authentifiĂ© d’aprĂšs Abu Dardñ’ t qui a dit j’ai entendu le Messager d’Allah dire le gĂ©niteur est la porte mĂ©diane du paradis. Si tu veux, Ă©gare cette porte ou bien prĂ©serve-la. » On trouve Ă©galement dans SahĂźh At-Tirmidhy d’aprĂšs AbdullĂąh Ibnu Amr t, d’aprĂšs le ProphĂšte ï·ș‬ qui dit L’agrĂ©ment du Seigneur est acquis par l’agrĂ©ment du gĂ©niteur, et le mĂ©contentement du Seigneur est contractĂ© par le mĂ©contentement du gĂ©niteur. » Ibnu AbĂąss t a dit il n’est pas de musulman qui possĂšde des parents musulmans et par qui il espĂšre la rĂ©compense d’Allah par le bon comportement, sans qu’Allah lui ouvre deux portes du paradis, et s’il lui reste un seul des deux parents, alors une porte lui sera ouverte. À l’inverse, s’il contrarie un de ses parents, Allah ne sera satisfait de lui que lorsque ce parent sera satisfait de lui. » On lui rĂ©pliqua Ceci mĂȘme si ses parents sont injustes envers lui. » Il rĂ©pondit Oui, mĂȘme s’ils sont injustes. » PoĂšme sur la mĂšreIl est mentionnĂ© dans un poĂšme Ta mĂšre, si tu savais, dĂ©tient sur toi un droit Ă©ternel !Tout ce que tu as fait pour elle est peu de chose en de nuits s’est-elle plainte sous le faix de la grossesse !Sa souffrance fit jaillir lamentations et cris de ne peux t’imaginer l’accouchement dans la douleur, AccablĂ©e d’atroces tiraillements qui lui arrachent le cƓur !Elle t’a si souvent purifiĂ©e de ses propres mains, Cette mĂšre dont le giron t’offrit un repos sacrifiait tout pour toi lorsque tu te lamentais, Et en son sein une boisson pure dont tu te s’est-elle affamĂ©e par compassion et tendresse T’offrant son pain quotidien pendant ta prime l’as perdu lorsque par ignorance tu as mal agi, Tu as trouvĂ© le temps long, mais si courte est la vie !MisĂšre Ă  celui qui possĂšde toute sa raison et suit son bon vouloir, Dont le cƓur est aveugle et ses yeux ne le privent pas de voir !Prends garde et convoite ses nombreuses priĂšres, Car ses invocations te sont plus que nĂ©cessaires
Ibnou Omar t vit un homme yĂ©mĂ©nite tourner autour de la maison sacrĂ©e portant sa mĂšre sur son dos. Cet homme dit Je suis pour elle un doux chameau, si d’autres montures se fatiguent de ton poids, moi je ne m’en lasse pas. Allah est mon Seigneur, plein de majestĂ© et il est le plus grand. Je l’ai portĂ©e plus qu’elle ne m’a portĂ©. Trouves-tu, ĂŽ Ibnu Omar, que je lui ai bien rendu le bien qu’elle m’a donnĂ© ? » Il rĂ©pondit Non, mĂȘme pas le moindre gĂ©missement que tu lui as fait subir ! » La bontĂ© envers la mĂšre expie les pĂ©chĂ©s AjoutĂ© Ă  ce qu’on a mentionnĂ©, la bontĂ© envers sa mĂšre a aussi pour consĂ©quence l’expiation des grands pĂ©chĂ©s. L’imam Ahmad a dit ĂȘtre bon envers ses parents a pour consĂ©quence l’expiation des grands pĂ©chĂ©s. » On interrogea Ibnu AbbĂąss t au sujet d’un homme qui a tuĂ© sa femme. On lui demanda comment pouvait-il se repentir ? » Il rĂ©pondit Si ses parents sont vivants, qu’il soit bon envers eux tant qu’ils sont encore en vie ; peut-ĂȘtre qu’Allah lui pardonnera. » Il donna la mĂȘme rĂ©ponse pour le repentir de celui qui Ă©tudia la sorcellerie. Ô communautĂ© des croyants, combien le musulman a-t-il passĂ© d’heures Ă  rendre service Ă  ses parents ! Par ce geste, Allah ï·»â€Ź lui pardonna ses pĂ©chĂ©s, ses fautes et le libĂ©ra des soucis et des chagrins. Combien de fils bienfaisants et de filles bienfaisantes qui quittent leurs parents en les ayant saluĂ©s ou aprĂšs leur avoir adressĂ©s de douces paroles ou aprĂšs leur avoir offerts un modeste prĂ©sent, ont vu les portes du ciel s’ouvrirent de par les invocations exaucĂ©es en leur faveur de leurs faibles parents ĂągĂ©s. Craignez donc Allah au sujet de vos parents, notamment s’ils ont atteint la vieillesse, si leurs membres se sont affaiblis et leurs tĂȘtes se sont garnies de cheveux blancs. Et surtout, s’ils ont atteint un stade oĂč ils te regardent comme celui qui attend une bouchĂ©e rassasiante de nourriture ou un modeste don gratifiant. La rĂ©alitĂ© dĂ©sole MalgrĂ© le grand amour, l’affection et l’effusion de tendresse des parents envers leurs enfants, on remarque ici et lĂ  tant de situations de dĂ©sobĂ©issance, d’ingratitude, de surprenantes mĂ©chancetĂ©s, de brutalitĂ©s terrifiantes, de maltraitances et de mauvaises relations. Des situations telles, que si une personne n’avait pas pris connaissance de quelques-unes d’entre elles, et n’en avait pas entendu d’autres de gens de confiance, elle dĂ©mentirait tout cela fort sĂ©vĂšrement et ne lui serait jamais venue Ă  l’esprit que cela est bien vĂ©ridique et bien rĂ©el. Justement, voilĂ  un pĂšre et une mĂšre qui vinrent au Centre de Police des MƓurs, les suppliant de les sauver ! Mais les sauver de qui
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De leur fils ! Ce fils rouait de coups ses parents matin et soir. Il n’y a pas un jour qui passait, disait la mĂšre, sans qu’il la tape d’abord, pour ensuite s’en prendre au pĂšre. Tristement, des histoires aussi malheureuses sont nombreuses. Lettre Ă©mouvante d’une mĂšre Ă  son fils Voici la lettre d’une mĂšre meurtrie qu’elle adresse Ă  son fils bien-aimĂ©. Cette pauvre mĂšre, aprĂšs avoir fait son Ă©ducation, veillĂ©e les nuits pour lui, sacrifiĂ©e sa vie et son bonheur pour sa cause, et organisĂ© son mariage avec une des jeunes filles, s’est vue soudainement reniĂ©e par ce dernier en lui dĂ©sobĂ©issant et la rejetant. Elle dit dans un extrait de sa lettre Mon fiston, il y a maintenant vingt-cinq ans, ce fut dans ma vie une rayonnante journĂ©e lorsque le mĂ©decin m’informa que j’étais enceinte. Tu sais, mon fils, les mĂšres maĂźtrisent bien le sens de ce mot ; c’est Ă  la fois un mĂ©lange de joie et de bonheur, avec le dĂ©but de la fatigue et les changements psychologiques et physiologiques. AprĂšs cette bonne nouvelle, je t’ai portĂ© dans mon ventre pendant neuf mois mon fils, tout en Ă©tant heureuse et enjouĂ©e. Pourtant, je me levais pĂ©niblement, je dormais difficilement, je mangeais Ă  contrecƓur, et je respirais malaisĂ©ment. MalgrĂ© tout, cela n’a jamais affaibli l’amour que je te porte et la joie de t’avoir. Au contraire, plus les jours passaient et plus mon amour pour toi ne cessait de se dĂ©velopper et le dĂ©sir de te voir ne cessait de grandir. Je t’ai portĂ©, mon fils, subissant pour toi peine sur peine et douleur sur douleur. Cependant, j’étais heureuse, heureuse chaque fois que je ressentais dans mon ventre un de tes mouvements. Je me rĂ©jouissais lorsque tu prenais du poids bien que la grossesse m’était pĂ©nible. C’est en effet une longue fatigue. AprĂšs cela, l’aube de cette fameuse nuit est arrivĂ©e, cette nuit oĂč je n’ai pas dormi, oĂč je n’ai pas pu fermer l’Ɠil. Cette nuit, j’ai Ă©tĂ© secouĂ©e par les douleurs, les difficultĂ©s, l’anxiĂ©tĂ© et la peur. Une situation telle qu’il est impossible de la dĂ©crire par Ă©crit ou mĂȘme oralement. Je jure par Allah mon enfant, Ă  maintes reprises, j’ai perçu la mort de mes propres yeux jusqu’à ce que tu viennes au monde. Tes larmes de naissance se sont mĂȘlĂ©es Ă  mes larmes de joie, et toutes mes douleurs et mes blessures disparurent. Mon cher fils, pendant des annĂ©es de ma vie, je t’ai portĂ© dans mon coeur, je t’ai lavĂ© de mes propres mains, mon giron fut ton lieu pour dormir et de ma poitrine tu prenais ta nourriture. J’ai veillĂ© mes nuits pour que tu dormes, et durant mes jours, je me suis fatiguĂ©e pour ton bonheur. Mon seul souhait est de pouvoir entrevoir ton sourire et ma joie de tout instant est que tu me demandes de te prĂ©parer quelque chose. Ceci Ă©tait mon bonheur extrĂȘme. Je demeurais ainsi pendant tous les jours et les nuits qui s’écoulĂšrent. Je demeurais une servante sans reproche, une nourrice ininterrompue et une travailleuse sans relĂąche. Ceci jusqu’à ce que tu aies atteint ta maturitĂ© et ta pleine croissance, et jusqu’à commencer Ă  voir en toi les signes de la virilitĂ©. Donc, je me suis prĂ©cipitamment mise Ă  courir ici et lĂ  pour te trouver la femme que tu demandais. Puis vint le jour de ton mariage. Mon cƓur dĂ©chirĂ©, alors mes larmes coulaient, car j’étais d’une part heureuse de contempler ta nouvelle vie de bonheur, mais d’autre part, j’étais triste de te quitter. Ensuite, les heures s’écoulĂšrent lentement, mais brusquement tu n’étais plus le fils que j’avais connu auparavant. Tu m’as rejetĂ© et tu as feint d’oublier mes droits sur toi les jours passent sans que je te voie, ni t’entende. Tu as feint d’ignorer celle qui t’a prĂ©sentĂ© le meilleur service. Mon enfant, je ne demande rien de plus que de me compter parmi les membres les plus Ă©loignĂ©s de tes amis et parmi ceux que tu rencontres le moins souvent. Mon tendre fils, fais en sorte de m’accorder chaque mois une place dans ta vie, pour te voir ne serait-ce que quelques minutes. Mon cher fils, sache que mon dos s’est courbĂ©, mes membres tremblotent, les maladies m’extĂ©nuent et le dĂ©pĂ©rissement me frappe. En effet, je ne me lĂšve que difficilement et ne m’assieds que pĂ©niblement. MalgrĂ© tout, mon cƓur ne cesse d’ĂȘtre animĂ© par ton amour. Si un jour une personne te montre du respect, tu t’empresserais de la remercier pour avoir bien agi et pour le bienfait reçu, alors que dire de ta mĂšre – que mon Seigneur te garde !- qui a Ă©tĂ© bonne envers toi, d’une bontĂ© que tu ne conçois pas et d’une bienfaisance Ă  laquelle tu es ingrat. Cette mĂšre qui Ă©tait aux petits soins avec toi et s’est occupĂ©e de toi des annĂ©es successives ; cette mĂšre qu’a-t-elle donc rĂ©coltĂ©e comme rĂ©compense et qu’a-t-elle obtenue en compensation ?! Comment en es-tu arrivĂ© Ă  ĂȘtre aussi insensible et comment le temps a-t-il autant agi sur toi ?! Mon fils chĂ©ri, chaque fois qu’on m’apprend que tu es heureux dans ta vie, ma joie et ma rĂ©jouissance redoublent. Cependant, je suis Ă©tonnĂ©e par ton comportement alors que tu es le produit de mes mains. Je me pose la question quel crime ai-je commis pour ĂȘtre devenue ton ennemie et pour ne plus vouloir venir me voir et pour te montrer rĂ©ticent Ă  mon Ă©gard ?! Pourtant, je ne vais pas me plaindre de toi auprĂšs d’Allah et je ne vais pas communiquer ma tristesse Ă  Allah, car si jamais elle s’élĂšve au-dessus des nuages et monte jusqu’aux portes du ciel, alors le malheur te frappera pour avoir Ă©tĂ© ingrat envers moi, le chĂątiment t’atteindra, et l’adversitĂ© s’installera dans ta propre maison. Non ! Je ne le ferai pas, car tu es toujours — ĂŽ mon enfant — le fruit de mes entrailles, le doux parfum de ma vie, et le plaisir de mon existence. RĂ©veille-toi mon fils, la vieillesse n’est plus si lointaine, les annĂ©es passent et tu deviendras un pĂšre ĂągĂ© Ă  ton tour, mais sache que la peine est proportionnĂ©e Ă  la faute. À ton tour, tu Ă©criras Ă  ton fils en pleurs de la mĂȘme façon que je t’ai Ă©crit. Certes, les litiges seront jugĂ©s par Allah. » Crains Allah au sujet de ta mĂšre, sĂšche ses larmes, et allĂšge sa souffrance. Ensuite si tu le dĂ©sires, dĂ©chire donc sa lettre, mais sache que quiconque fait une bonne Ɠuvre, c’est pour son bien, et quiconque fait le mal, il le fait Ă  ses dĂ©pens. [..] D’aprĂšs ZaĂŻd qui demanda Ă  Hassan Al-Bassry Qu’en est-il de l’invocation des parents pour leur enfant ? » Il rĂ©pondit c’est pour lui sa dĂ©livrance. » J’ajoutais Qu’en est-il si l’invocation des parents est contre leur enfant ? » Il rĂ©pondit c’est pour lui son anĂ©antissement. » sa perte. Conclusion Le droit de la mĂšre sur son fils est Ă©norme et de grande importance. Il n’a pas Ă  l’appeler par son prĂ©nom, mais il doit l’appeler par les noms qu’elle aime ou par son surnom Oumm untel. Ne t’assieds pas avant elle et ne marche pas devant elle. Accueille-la avec un visage rayonnant, embrasse-lui la tĂȘte et baise-lui la main. Lorsque tu l’enjoins Ă  faire une chose, fais-le correctement sans la blesser. RĂ©ponds Ă  son invitation lorsqu’elle t’invite sans Ă©prouver la moindre lassitude ou la moindre rĂ©pugnance. Parle-lui avec douceur, nourris-la lorsqu’elle a faim et empresse-toi de lui ramener toutes les bonnes choses qu’elle dĂ©sire. Donne-lui ce qu’elle souhaite avant mĂȘme qu’elle ne le demande et informe-toi de ce qu’elle aime pour le lui apporter. Sois pour elle un servant obĂ©issant. ObĂ©is-lui tant que cela n’induit pas un pĂ©chĂ©. Ne la devance pas en mangeant ou en buvant. RĂ©jouis-la en invoquant pour elle la misĂ©ricorde et le pardon pendant la nuit et aux extrĂ©mitĂ©s du jour. Ne tiens pas compte de ses fautes et ses faux pas. Ne parle d’elle Ă  quiconque d’un ton plaintif ou outrageant et n’exprime Ă  quiconque ce qui te chagrine Ă  son sujet. Fais-lui plaisir et respecte-la. Ne t’enorgueillis pas face Ă  elle, car tu Ă©tais Ă  l’intĂ©rieur de ses entrailles et tu Ă©tais entre ses mains. Rends-la heureuse et entretiens un bon comportement avec elle. Enfin, demande qu’elle invoque Allah pour toi, car les portes du ciel s’ouvrent pour ce genre d’ Ă  Allah, et que la paix et sa bĂ©nĂ©diction soient accordĂ©es Ă  Son ProphĂšte Muhammad, ainsi qu’à sa famille et ses compagnons et tous ceux qui les ont suivis de la meilleure maniĂšre
L’islam Ă  la portĂ©e de tous ! De nombreuses traditions antiques font Ă©tat d’un paradis oĂč vivent les dieux, et oĂč les humains peuvent espĂ©rer ĂȘtre accueillis, de leur vivant ou aprĂšs leur mort. Il y a toutes les chances que cette croyance omniprĂ©sente repose sur une vĂ©ritĂ© oubliĂ©e, mal comprise ou mal transmise. Voyons laquelle. Tous ces paradis sont situĂ©s sur une trĂšs haute montagne, gĂ©nĂ©ralement au nord, ce qui est le cas des paradis hindous, celui de Shiva et celui de Brahma. Je voudrais examiner ici le paradis vu par la Chine ancienne. Les anciennes lĂ©gendes chinoises prĂ©tendent que les monts Kun Lun ou Kouen Louen = montagnes caverneuses abritaient la demeure des dieux. Un ancien Ă©crit littĂ©raire dit l’Empereur Jaune l’empereur des dieux rĂ©side dans la montagne brumeuse du Kun Lun »... la crĂȘte de la montagne de Kun Lun abrite le palais de l’Empereur Jaune. On dit qu’elle est la “montagne du milieu du monde” autour de laquelle tournent le soleil et la lune. Et elle est dite aussi le lieu oĂč les dix mille choses ont leur origine et oĂč alternent le yin et le yang”. Les anciennes fables indiquent que cette montagne relie les cieux et la terre, et qu’une personne ordinaire atteindra le ciel lorsqu’elle atteint la crĂȘte la plus Ă©levĂ©e. » source Doit-on penser que ce mont Ă©tait une Ă©chelle ou une porte pour aller au ciel ? La plupart le font. On peut voir les choses autrement les crĂȘtes successives sont comme les toits des pagodes chacune indique un ciel » de plus en plus Ă©levĂ©. Ces ciels » sont des positions dans l’espace ciel occupĂ©es par des planĂštes habitĂ©es. PlanĂštes itinĂ©rantes comme des vaisseaux gĂ©ants, ou planĂštes fixes, origines des dieux terraformeurs. Les trĂŽnes du roi Salomon VoilĂ  pour le point de vue symboliste. Passons au point de vue concret, matĂ©riel, basique celui qui a ma prĂ©fĂ©rence. Vous raffolez comme moi des pommes d’or que je cueille au jardin des HespĂ©rides
 ou plutĂŽt aux annales akashiques. Il se trouve que cette montagne n’était pas le domaine des dieux, mais le pied de l’échelle qui y mĂšne. Pour une raison que je n’ai pas encore Ă©lucidĂ©e, les anciens astronautes qui ont terraformĂ© cette planĂšte avaient besoin de pistes d’atterrissage et de dĂ©collage situĂ©es en hauteur des montagnes au sommet plat, arasĂ©es par les gĂ©ants. A dĂ©faut de montagne, une pyramide tronquĂ©e faisait l’affaire. L’imagerie populaire antique a donnĂ© un nom Ă  ces pistes divines ce sont les trĂŽnes de Salomon. Le grand roi possĂ©dait une machine volante avec laquelle il se dĂ©plaçait jusqu’en Chine, dit la lĂ©gende. Je la tiens pour vraie. Tout autour du bassin mĂ©diterranĂ©en et jusqu’en extrĂȘme orient, on trouve de nombreux trĂŽnes de Salomon affectant tous le mĂȘme forme caractĂ©ristique. Si l’on se reporte au texte citĂ© plus haut, cette montagne qui mĂšne au domaine des dieux est sans aucun doute une plate-forme de dĂ©collage d’oĂč les navettes spatiales s’élançaient vers HyperborĂ©e, le lieu oĂč les dix mille choses ont leur origine et oĂč alternent le yin et le yang”. Les dix mille choses, ce sont toutes les crĂ©ations et les innovations apportĂ©es par les dieux terraformeurs. N’oublions pas qu’avant leur intervention, il y a plusieurs milliards d’annĂ©es, la terre Ă©tait une planĂšte sauvage, oĂč il n’y avait ni animaux, ni plantes. Seuls quelques organismes unicellulaires leur ont fourni la preuve que cette planĂšte Ă©tait apte au dĂ©veloppement de la vie. Ce qu’ils ont fait. Quant Ă  l’alternance du yin et du yang, c’est une allusion Ă  l’alternance du pouvoir divin entre dieux et dĂ©esses. Matriarcat et patriarcat dans leur rivalitĂ© terrestre sont Ă  l’image des cafouillages du pouvoir divin. Pour ceux que cette affaire passionne, je recommande vivement la lecture de la saga d’HĂ©noch, intitulĂ©e Contes d’EternitĂ©. Le Kun Lun s’appelle Ă©galement Hsien Shan », la montagne des immortels ». Chez les TaoĂŻstes elle symbolise en effet le sĂ©jour de l’immortalitĂ©, un peu comme notre paradis terrestre. ProtĂ©gĂ©e par la rivĂšre Ruoshi qui engloutit tout et par une montagne de feu, elle est gardĂ©e par des animaux fantastiques. Et on dit que Lao-tseu s’y serait retirĂ©, aprĂšs avoir quittĂ© la Chine. Le sommet de cette montagne est la demeure de Xiwangmou, la Reine-mĂšre de l’Occident. Les plus anciennes traces Ă©crites de cette dĂ©esse datent de la dynastie Shang 1766-1112 On y parle de Chi-Mou,avait-elle la colique ? la mĂšre de l’occident, qui s’oppose Ă  Toung-Mou, la mĂšre de l’orient. source On retrouve les animaux fantastiques, comme le phĂ©nix plus loin On retrouve aussi la notion de paradis » comme sĂ©jour des immortels. Enfin, ce qui me fait plaisir, on note que les Chinois n’ont pas oubliĂ© que les dieux sont dirigĂ©s par la Grande DĂ©esse, et mĂȘme qu’il y en a deux, une pour l’occident, Chi-Mouelle a la colique ? et une autre pour l’orient. [La Grande DĂ©esse] apparait ensuite sous son nom complet de Chi Wang Mou dans la Chronique du Fils du Ciel Mou » et dans les Annales de Bambou ». Ces textes racontent que le roi Mou 10 Ăšme siĂšcle AEC Ă©tait parti combattre les tribus Kanronks; il traversa donc le dĂ©sert du Taklamakan, au nord des monts Kun-lun, et passa prĂ©s du mont Jiyu lorsqu’il rencontra Chi Wang Mou lĂ  oĂč les oiseaux bleus muent », prĂ©s du lac Yao, le lac de jaspe. Elle refusa de lui offrir l’élixir d’immortalitĂ©, mais lui donna sept pĂȘches de l’arbre d’immortalitĂ© dont les fruits ne mĂ»rissent que tous les 3000 ans. Selon Zhuangzi, auteur du 4Ăšme siĂšcle Xiwangmu conserve sa jeunesse car elle pratique le yoga sexuel et couche avec de nombreux jeunes hommes Ă  qui elle soutire leur Ă©nergie C’est une femme qui obtint le Tao en nourrissant son propre yin. » source Un autre texte prĂ©cise La reine du paradis occidental n’a aucun mari mais elle aime copuler avec de jeunes garçons. Ce secret, cependant, ne devrait pas ĂȘtre divulguĂ©, de peur que d’autres femmes n’essayent d’imiter les mĂ©thodes de la Reine-mĂšre. » source Le phĂ©nix chinois Venant du paradis, ou assurant la liaison avec lui, le phĂ©nix et l’oiseau vermillon sont aussi prĂ©sents dans le corpus lĂ©gendaire de Chine et du Japon. Pourquoi en seraient-ils absents, puisque les dieux d’avant Ă©taient partout ? L’oiseau vermillon du Sud chinois 捗æ–č朱雀, pinyin nĂĄn fāng zhĆ« quĂš est l’un des quatre animaux totem des orients et du zodiaque chinois. Il ne doit pas ĂȘtre confondu avec le Fenghuang, le phĂ©nix chinois. En effet, le Fenghuang rĂšgne sur tous les oiseaux du monde terrestre tandis que l’oiseau vermillon est un esprit qui demeure dans le ciel. Il est aussi appelĂ© par les Japonais Suzaku 朱雀?, phĂ©nix rouge chinois ». source Proche du phĂ©nix, cet oiseau vermillon m’évoque un drone hyperborĂ©en. Le conte d’Adapa cite ce mĂȘme drone du Sud. Adapa est un humain parfait créé par Enki, qui le considĂšre comme son propre fils. Adapa sait ce qu’il veut. Il n’a pas froid yeux quand il s’agit d’affronter les pĂ©rils surhumains ou de braver le courroux divin. Un jour qu’il pĂȘche sur un Ă©tang, il voit passer un de ces drones, redoutables espions auxquels rien n’échappe, et qui font aussitĂŽt leur rapport aux dieux d’HyperborĂ©e. Ce drone s’appelle le Vent du Sud. Son rase-mottes et les remous qu’il crĂ©e font fuir les poissons. Adapa n’hĂ©site pas. Il bande son arc et abat l’oiseau rouge d’une flĂšche bien placĂ©e, dit la lĂ©gende. Je soupçonne l’arc d’ĂȘtre un lance-roquette. Toutes ces lĂ©gendes ont Ă©tĂ© Ă©crites longtemps aprĂšs les faits par des gens qui n’avaient plus la moindre idĂ©e high-tech. C’est ainsi qu’un lance-roquette devient un arc, et qu’un drone de surveillance devient tantĂŽt l’oiseau vermillon du Sud, tantĂŽt le phĂ©nix. Il ne faut pas les confondre » insiste WikipĂ©dia. Pourquoi pas ? WikipĂ©dia n’en a pas la moindre idĂ©e, l’encyclopĂ©die en ligne se contente de citer les ignorants des siĂšcles passĂ©s. En confondant toujours en ligne » et dans la ligne ». L’oiseau vermillon, le phĂ©nix, l’oiseau roc et les vimanas, mĂȘme combat. On peut y ajouter le cheval magique de Mahomet et les tapis volants des Mille et une nuits. Ce sont autant de drones, d’avions de ligne, de navettes spatiales et de Jumbo-jets adaptĂ©s aux divers usages d’une sociĂ©tĂ© hyper dĂ©veloppĂ©e, comme l’était celle des astronautes antiques. L’histoire de l’aviation a commencĂ© avec eux, il y a plus de ans, et non comme on le croit souvent avec ClĂ©ment Ader en 1890 ou les frĂšres Montgolfier en 1784. Le paradis se trouve sous les pieds de ma mĂšre Grandmother’s day Cadeau pour grands-mĂšres anniversaire, NoĂ«l, fĂȘtes des grands-mĂšres carnet de souvenirs familial, carnet de notes Art, M&Z Le paradis se trouve sous les pieds de la mĂšre Joyeuse fĂȘte des mĂšres Beau carnet de notes avec lignes Notebook Bloc-notes Journal intime 
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 Le paradis est sous les pieds de nos/vos mĂšres » Hadith inventĂ© ! – ICPAI – Malik Naram Al Kinany AL JANNA CETTE Calligraphie D’AL UMAHAT D’AQDAM Illustration de Vecteur - Illustration du fĂȘte, paradis 100293934 Le Paradis est sous les pieds des mĂšres LE PARADIS SE TROUVE AUX PIEDS DE NOS MERES - eamon ÉpinglĂ© sur Islam 3gmusic - Parole d' IBA ONE Le paradis se trouve sous les pieds de nos Mamans, ne l’oublions pas . Bonne fĂȘte des mĂšres Ă  toutes nos Mamans. Vous ĂȘtes source de Citation Baizid Hadibi femme La mĂšre est une femme dont le paradis est sous
 Ramadanesques 09 1437 PPT - “Juste au Cas Ou Nous Aurions OubliĂ©!” PowerPoint Presentation - ID6992938 💛 Le Paradis 💙 se trouve 💜 sous les 💚 pieds de ❀ nos MĂšres. 💗 Le paradis se trouve sous les pieds des mĂšres" peur et fascination du fĂ©minin en islam analyse jungienne - Vous Devriez Voir Ça RESPECTER SES PARENTS AKHLAQ CLASSE 5 LEÇON 4 Copyright © - ppt video online tĂ©lĂ©charger MĂšres-avant-tout Le Paradis se trouve sous les pieds des mĂšres - Sheikh Al Albani - IslamSounnah VidĂ©o Islamique selon le Coran et la Sounnah Le Paradis se trouve sous les pieds de ta MĂšre - 2 Autocollant mural de calligraphie islamique, paradis couchĂ© sous les pieds des mĂšres, dĂ©cor de maison, papier peint de salon AliExpress Citation Idriss Mahamat Kosso maman Le paradis est sous les pieds de maman. Je t’aime
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Des áž„adÄ«áčŻ-s offrant [prĂ©tendĂ»ment] des contradictions internes [ou des affirmations contestables] ; des áž„adÄ«áčŻ-s [prĂ©tendĂ»ment] en contradiction avec Le Paradis est sous les pieds des mĂšres - DeenAction Le paradis est sous les pieds de ma mĂšre - 3 Minutes pour changer de vie - Ep 14 - YouTube La place de la femme dans la Perse antique - La Revue de TĂ©hĂ©ran Iran Rappelez-vous de l’importance de la mĂšre en Islam Artist-Ik Bruxelles artist_ik Twitter Islamic icon Etsy Le paradis se trouve sous les pieds des mĂšres" peur et fascination du fĂ©minin en islam analyse jungienne - Vous Devriez Voir Ça VII. On bat les femmes les parents Al Hamdulilah * on Twitter “Le paradis se trouve sous les pieds de notre mĂšre đŸ’Žâ€ïž Les parents dans le Coran Six bonnes raisons pour cĂ©lĂ©brer cette annĂ©e la fĂȘte des mĂšres My publications - Le Dome Oceanique - Page 36-37 - Created with Le Paradis se trouve sous les pieds des mĂšres - Sheikh Al Albani - IslamSounnah VidĂ©o Islamique selon le Coran et la Sounnah Basilique Notre-Dame-de-la-Garde — WikipĂ©dia Recommandation de ma mĂšre - ÙˆŰ”ÙŠÙ‘Ű© ŰŁÙ…Ù‘ÙŠ - VCD Video CD is readable on a PC or on a DVD player CONTRE-PIED – Le sport oĂč on ne l’attend pas. MĂ©lusine et Lilith Un bon comportement est un attribut louĂ© par le ProphĂšte sallAllahou aleyhi wa salam. Cela fait partie intĂ©grante de notre pratique et est un objectif pour chaque croyant et chaque croyante. Aujourd’hui, nous allons nous concentrer sur le bon comportement envers les mĂšres en Islam. Un rappel qui, nous l’espĂ©rons, nous permettra de rĂ©flĂ©chir Ă  la maniĂšre dont nous traitons nos parents. Nous aborderons d’abord les paroles du Messager de Dieu sallAllahou aleyhi wa salam Ă  propos des parents, en particulier la mĂšre dans l’Islam, puis discuterons de la gentillesse des parents, qui a Ă©tĂ© appliquĂ©e par les prophĂštes alayhim salam. De mĂȘme, le comportement des Compagnons et des PrĂ©dĂ©cesseurs qu’Allah les agrĂ©e, envers leurs mĂšres, avant de mentionner ce qui pourrait nous apporter une bonne conduite envers nos parents. Les parents en Islam comment se comporter avec eux ? Nos devoirs envers nos parents dans l’Islam nous sont imposĂ©s par le Saint Coran et les enseignements de notre ProphĂšte sallAllahou ’alayhi wa salam. Allah le TrĂšs Haut a recommandĂ© la bienfaisance envers nos parents, Il a dit Adorez Allah et ne lui associez rien faites du bien Ă  vos pĂšres et mĂšres ». S04 – V36. A plusieurs endroits dans le Saint Coran, comme dans Sa parole, Allah associe Son droit Ă  celui des parents. Allah a ainsi ordonnĂ© {Adorez Allah et ne Lui donnez aucun associĂ©. Agissez avec bontĂ© envers vos pĂšre et mĂšre, les proches, les orphelins, les pauvres, le proche voisin, le voisin lointain, le collĂšgue et le voyageur, et les esclaves en votre possession, car Allah n’aime pas, en vĂ©ritĂ©, le prĂ©somptueux, l’arrogant}. Sourate 4 Verset 36. Dans ce verset, Allah fait suivre l’obĂ©issance envers Lui, par la bienfaisance envers les parents. Les exĂ©gĂštes du Saint Coran comme l’imam ibn Kathir qu’Allah lui fasse misĂ©ricorde expliquent cela par le fait qu’Allah souligne l’importance des parents en faisant suivre les deux ordres Lui obĂ©ir et ĂȘtre bons envers les parents. Quant Ă  ce mĂȘme verset, l’imam al Qurtubi qu’Allah lui fasse misĂ©ricorde a dit Ce verset, selon le consensus des savants, figure parmi ceux qui sont unanimement reconnus comme Ă©tant explicites et qui ne comportent aucune espĂšce d’abrogation. Cet ordre se retrouve dans l’ensemble des Livres. Si tel n’était pas le cas, ce serait connu grĂące Ă  la raison, mĂȘme si le Livre n’y avait apportĂ© aucune rĂ©vĂ©lation ». L’imam Al Naysaburi qu’Allah lui fasse misĂ©ricorde a Ă©galement commentĂ© ce verset en ces termes Il considĂšre le devoir de bienveillance envers les parents Ă  la suite de l’adoration d’Allah, pour plusieurs raisons ils sont Ă  la cause de l’existence de l’enfant comme ils sont Ă  l’origine de son Ă©ducation. Il n’y a donc, aprĂšs la grĂące d’Allah, de bienfait qui soit plus grand que celui des parents ». Cependant, leur obĂ©issance est interdite dans les pratiques contraires Ă  l’Islam et au pĂ©chĂ©. La meilleure façon pour les gens qui vivent dans une sociĂ©tĂ© non musulmane est de ne pas tomber dans le piĂšge du pĂ©chĂ© en voulant leur plaire. Par exemple, cĂ©lĂ©brer des anniversaires, des anniversaires, Ă©changer des cadeaux Ă  ces diverses occasions. Il ne faut pas se prĂ©cipiter par le recours Ă  la rupture des liens familiaux. Il vaut mieux que nos parents apprennent Ă  connaĂźtre l’islam par un bon comportement, puis des conseils gentils avec patience, nĂ©cessaires pour les attirer vers l’islam. Surtout, une priĂšre de Dieu pour eux pour les guider. D’aprĂšs Ibn Majah, Ibn Umar qu’Allah l’agrĂ©e a dit Un homme est venu voir le Messager d’Allah alayhi salat wa salam et dit Ô Messager d’Allah ! Je suis venu pour accomplir le djihad en ta compagnie en vue du Visage d’Allah et la demeure de l’au-delĂ . Je suis venu auprĂšs de toi en laissant mes parents en pleurs. » Il dit alors Retourne les voir, et fais-les rire comme tu les as fait pleurer. » Le Messager d’Allah alayhi salat wa salam nous ordonne d’ĂȘtre prĂ©sents auprĂšs de nos parents et de ne pas leur faire de peine. Ne soyons pas ingrats envers eux. On dit trĂšs couramment que le Paradis est sous les pieds de la mĂšre. En effet, une mĂšre dans l’Islam est une cime infini d’affection et de dĂ©votion envers son enfant. Dans notre religion, elle a toujours eu un rĂŽle trĂšs distinct et distinctif sur le rĂŽle d’un pĂšre parce qu’elle donne la vie Ă  son enfant, le nourrit et le protĂšge, parfois au dĂ©triment de sa propre santĂ©. D’aprĂšs Abou Hourayra qu’Allah l’agrĂ©e, un homme se prĂ©senta au Messager d’Allah sallAllahou alayhi wa salam et lui dit Qui parmi les gens mĂ©rite mieux mon bon traitement ? Votre mĂšre. » Puis qui ? » Votre mĂšre. » Puis qui ? » Votre mĂšre. » Puis qui ? » Votre pĂšre. » rapportĂ© par Boukhari, 4/13 et Mouslim, 2548. Un musulman doit respecter sa mĂšre profondĂ©ment et avec une obĂ©issance constante. Dieu Tout-Puissant nous rappelle la position privilĂ©giĂ©e de nos parents. Dans certains versets, Dieu souligne la douleur qu’une mĂšre a endurĂ©e pour son enfant pendant plusieurs mois. Et ton Seigneur a dĂ©crĂ©tĂ© N’adorez que Lui; et marquez de la bontĂ© envers les pĂšre et mĂšre si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprĂšs de toi, alors ne leur dis point Fi! » et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. » Coran, 17/23. Dans l’Islam, le pĂšre et la mĂšre sont Ă©gaux dans la responsabilitĂ© de leurs enfants, mais la mĂšre en Islam de nombreux mĂ©rites en raison de ses douleurs pendant la grossesse et l’accouchement. Notre noble ProphĂšte alayhi salat wa salam nous a demandĂ© d’ĂȘtre bons avec nos parents. Ils ont endurĂ© tant de souffrances pour nous, nous ont enseignĂ© et nous ont apportĂ© tout ce qu’ils pouvaient. Il faut donc bien se comporter avec eux car c’est le moins que l’on puisse faire pour eux. Nous savons oĂč se trouvent les clĂ©s des portes du Paradis, et c’est Ă  nous de les saisir en chĂ©rissant notre mĂšre, en prenant soin d’elle, en la soutenant, en la faisant sourire, et en la compassion pour elle, inchaAllah. La bienfaisance envers les parents, appliquĂ©e par les ProphĂštes alayhim salam L’importance de la bienfaisance envers les parents en Islam est telle qu’elle a Ă©tĂ© appliquĂ©e par les ProphĂštes et Messagers d’Allah alayhim salam. En effet, rappelons que le ProphĂšte Nouh alayhi salam a demandĂ© Ă  Allah le pardon pour ses parents et lui-mĂȘme. Or, faire des invocations en faveur de ses parents est bien une marque de bienfaisance envers eux. La parole de Nouh alayhi salam Ă©tait la suivante {Seigneur ! Pardonne-moi, et Ă  mes pĂšre et mĂšre et Ă  celui qui entre dans ma demeure croyant, ainsi qu’aux croyants et croyantes} Sourate 71 Verset 28. L’exemple bien connu du ProphĂšte Ibrahim alayhi salam est en effet Ă  souligner lorsqu’il dit {Ô mon seigneur ! Fais que j’accomplisse assidĂ»ment la salat ainsi qu’une partie de ma descendance ; exauce ma priĂšre, ĂŽ notre seigneur ! Ô notre Seigneur ! Pardonne-moi, ainsi qu’à mes pĂšre et mĂšre et aux croyants, le jour de la reddition des comptes}. Sourate 14 Versets 40-41. Le ProphĂšte Youssouf alayhi salam a quant Ă  lui rassurĂ© ses parents et les a Ă©levĂ©s autant qu’il le pouvait. {Lorsqu’ils s’introduisirent auprĂšs de Joseph, celui-ci accueillit ses pĂšre et mĂšre et leur dit Entrez en Égypte, en toute sĂ©curitĂ©, si Allah le veut ! » Et il Ă©leva ses parents sur le trĂŽne}. Sourate 12 Versets 99-100. Concernant le ProphĂšte Yahya alayhi salam, Allah rĂ©vĂšle {Il Ă©tait pieux et dĂ©vouĂ© envers ses pĂšre et mĂšre ; et ne fut ni violent ni dĂ©sobĂ©issant}. Sourate 19 Versets 13-14. Par consĂ©quent, la bienfaisance envers les parents est une caractĂ©ristique prophĂ©tique. Les prophĂštes alayhim salam ont Ă©tĂ© gentils avec leurs parents et ont invitĂ© Ă  cette obĂ©issance envers eux. Les hadiths appelant Ă  l’obĂ©issance et Ă  la bienveillance envers le pĂšre et la mĂšre sont si nombreux que nous ne pourrons pas tous les relever. Mais soulignons simplement que le Messager de Dieu alayhi salat wa salam a largement insistĂ© sur la position importante des parents dans l’Islam et le bien que nous leur devons et ce jusqu’à notre dernier souffle, inchaAllah. Le comportement des compagnons et des pieux prĂ©dĂ©cesseurs envers leurs mĂšres Et sachez qu’aprĂšs les prophĂštes alayhoum salam, ils sont les meilleurs des hommes, les plus exemplaires, les plus nobles, qu’Allah les couvre de Sa MisĂ©ricorde. Ainsi, ils ont adoptĂ© un comportement doux avec leurs mĂšres. Il y a beaucoup d’histoires qui ont Ă©tĂ© mentionnĂ©es, et nous n’en mentionnerons que quelques-unes, inchaAllah. D’aprĂšs Anas ibn Nadr Al-Achja’y, Une nuit, la mĂšre de Ibn Mass’ud qu’Allah l’agrĂ©e lui demanda de l’eau. À son retour, il lui apporta de l’eau, mais il la trouva en plein sommeil. Il resta immobile auprĂšs d’elle jusqu’au petit matin. » Mohamed Ibn Al-Mounkadir a dit J’ai passĂ© ma nuit Ă  masser les pieds de ma mĂšre, alors que mon frĂšre Umar a passĂ© la sienne en priĂšre ; sa nuit ne me comblait pas autant que la mienne. » Quelle bontĂ© ! Prendre soin de sa mĂšre est un moyen de parfaire notre pratique religieuse sobhanAllah. De mĂȘme, Zine Al-Abidine qu’Allah l’agrĂ©e Ă©tait trĂšs bienfaisant envers sa mĂšre. Cependant, il ne mangeait jamais dans le mĂȘme plat qu’elle. On lui demanda Tu es la personne la plus bienfaisante envers ta mĂšre, pourtant on ne te voit pas manger avec elle dans un mĂȘme plat ?! » Il rĂ©torqua J’ai peur que ma main s’empresse de prendre un aliment sur lequel elle a des vues, et par ce geste, je lui aurais dĂ©sobĂ©i. Sachez qu’il y a encore trĂšs peu de temps, il y avait une communautĂ© chez laquelle on ne trouvait pas de personnes qui habitent Ă  l’étage au-dessus alors que leurs mĂšres habitaient en-dessous. » Suivons l’exemple des compagnons et des pieux prĂ©dĂ©cesseurs qu’Allah les agrĂ©e pour leur droiture, leur bontĂ© et leur bienfaisance envers leurs mĂšres macha Allah. Nos mĂšres en Islam La rĂ©compense de la bontĂ© envers elles Un bon comportement envers la mĂšre en Islam est bĂ©nĂ©fique. Au contraire, cela expie nos pĂ©chĂ©s et nous rapproche du Paradis. Par notre gentillesse envers nos mĂšres, nous prĂ©parons notre rĂ©compense pour l’au-delĂ , inchaAllah. La rĂ©compense a Ă©tĂ© mentionnĂ©e dans de nombreux versets. Parmi eux, nous mentionnons les versets 15 et 16 de la sourate Al-Ahqaf, dans lesquels Allah a promis aux bienfaiteurs d’accepter leurs actions justes et la rĂ©compense pour leur accomplissement, le pardon des pĂ©chĂ©s et l’admission au paradis, inchaAllah. Un bon comportement avec une mĂšre en Islam est un moyen pour nous d’atteindre le Paradis. Soyons reconnaissants envers nos mĂšres, soyons gentils avec elles, envers celles qui nous ont mis au monde, parce qu’elles mĂ©ritent le meilleur de la terre. Que Dieu ait pitiĂ© de nos mĂšres. Sauvez-les de toute souffrance, et pour qu’on se rĂ©unit au Paradis, inchaAllah.

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