Unbeau matin, sa femme, qui Ă©tait une maĂźtresse commĂšre, entre dans son cabinet, Saint-Simon, 154, 5. Une maĂźtresse femme, une femme capable, habile, rĂ©solue. Elle parla avec tant de force qu'une nouvelle servante, qui l'entendait, l'interrompit en s'Ă©criant : Pardi, voilĂ  encore une maĂźtresse femme, Genlis, Mme de UnprĂȘtre accusĂ© de violences envers sa secrĂ©taire paroissiale et maĂźtresse a Ă©copĂ© mardi d’un rappel Ă  la loi. Le curĂ© officiant dans les Bouches-du-RhĂŽne aurait frappĂ© cette femme dans le presbytĂšre, mais le parquet n’a pas jugĂ© nĂ©cessaire qu’un procĂšs ait lieu dans cette affaire oĂč les passions se dĂ©chaĂźnent.Un prĂȘtre officiant dans les Bouches-du-RhĂŽne a Ă©copĂ© Unhomme-maĂźtresse amoureux fou d'Ava, mariĂ©e Ă  un type bien. Comme l'auteur, qui a vĂ©cu ce rĂŽle pendant deux ans, JĂ©rĂŽme quĂ©mande Ă  son adorĂ©e des morceaux de Jesuis une maitresse BONJOUR je suis une maitresse depuis 10 ans je sais et je suis sur qu'il m'aime enormement mais il n'a jamais ete question qu'il quitte sa femme pour a ça façon mais avec moi il a le dialogue la tendresse qu'il n'a plus avec elle (30 ans de mariage)il ne faut pas te pose tant de question laisse les choses allĂ© doucement si tu dois en Choisirentre sa femme et sa maĂźtresse fĂ©vrier 21, 2017 Le Modo Le dilemme de l’homme infidĂšle Faire le choix d’etre infidele L’infidĂ©litĂ© peut en sĂ©duire plus d’un, l’adrĂ©naline et le piment qui l’accompagne sont le cocktail parfait pour l’homme lassĂ© de son couple, mais elle contraint toutefois souvent le mari adultĂšre Ă  faire des choix. Plusd'Ă©nergie au quotidien. Plus de motivation dans les projets. La cage de chastetĂ© est donc le dispositif idĂ©al pour que tu dĂ©marres ta nouvelle vie en tant qu'homme chaste. Pour une efficacitĂ© absolue tu dois avoir un MaĂźtre ou une MaĂźtresse afin qu'elle te dresse correctement et qu'elle guide tes pas sur le chemin de la puretĂ© . . Sexe sous Corona Aide-soignante la journĂ©e et escort le soir, Laura a stoppĂ© sa premiĂšre activitĂ© pour ne pas mettre en pĂ©ril la vie de ses patients. Coronavirus oblige ! DĂ©sormais prostituĂ©e Ă  plein temps, elle nous raconte ce que rĂ©vĂšle le confinement chez ses clients. En plein confinement, je ne vais pas faire l’escort le soir et aller bosser dans le mĂ©dical aprĂšs. Je prends des risques pour moi, c’est pas grave, mais pour les autres c’est hors de question. » Responsable, Laura a mis de cĂŽtĂ© son activitĂ© d’aide-soignante pour faire face Ă  l’épidĂ©mie Ă  sa maniĂšre. Escort depuis cinq ans prĂšs de Cannes, la jeune femme de 25 ans est passĂ©e de deux clients par jour Ă  cinq. A l’origine, elle se prostituait occasionnellement pour arrondir ses fins de mois Premier appartement, travail de caissiĂšre, c’était pas simple pour se faire plaisir, se souvient-elle. J’ai vu un reportage Ă  la tĂ©lĂ© sur l’escorting, ils en faisaient presque de la pub ! J’ai tentĂ© et adhĂ©rĂ©. Faut ĂȘtre forte mentalement mais tu te fais de l’argent facilement.» Aujourd’hui, si elle a choisi de concentrer son activitĂ© sur la prostitution, ce n’est pas par choix. Elle loge dans un hĂŽtel qui ne propose plus de tarif Ă  la nuit pour limiter les va-et-vient. RĂ©sultat, elle doit payer 900 euros par mois pour une chambre, sa seule solution de logement Tant que le confinement dure, je ne peux pas m’arrĂȘter. J’ai appelĂ© la prĂ©fecture, la mairie et des assistantes sociales mais rien Ă  faire. J’ai dĂ» sortir deux loyers en quelques jours. » Un confinement qui bouleverse son quotidien mais aussi son activitĂ©. La situation inĂ©dite du pays se ressent particuliĂšrement dans la chambre Ă  coucher. Encore plus sur l’oreiller d’une escort, oĂč les hommes se confessent librement. La France est confinĂ©e – tu arrives malgrĂ© tout Ă  avoir des clients ?Laura Quand Macron a annoncĂ© le confinement, j’ai totalement paniquĂ©. J’en rigolais avec un pote en lui demandant si Macron allait faire quelque-chose pour les escort-girl. Pour moi, c’était fini, plus personne n’allait venir. Mais
Mais dĂšs le lendemain, j’étais rassurĂ©e. Les hommes viennent quand mĂȘme, c’est pas ça qui les bloque. Il y a peut-ĂȘtre un peu moins de demande mais j’ai encore suffisamment de clients. Ce matin, un ouvrier d’un chantier du coin a passĂ© sa pose dĂ©jeuner avec moi. La seule diffĂ©rence depuis le dĂ©but du confinement, c’est le couvre-feu interdiction de sortir entre 22h et 5h depuis le 22 mars pour certaines communes d’Alpes-Maritimes, ndlr. Plus de personne ont peut de sortir, j’ai des clients qui me demandent de passer la nuit chez moi et d’autres qui restent debout jusqu’à 5 heures du mat’ pour vite s’échapper et venir me rejoindre. Ils ont plus peur de l’amende que du virus. Ce sont surtout des habituĂ©s ?Ah non au contraire ! Je vois beaucoup plus de personnes qui viennent pour la premiĂšre fois. On sent qu’ils sont dĂ©butants ils dĂ©barquent, gĂȘnĂ©s, et rapidement, ils me disent que c’est leur premiĂšre fois avec une escort, ils ne savent pas trop comment faire. Avec le confinement, ils ne trouvent pas d’autres moyens pour coucher. La plupart sont jeunes d’ailleurs, beaucoup ont moins de 30 ans. Tu sens qu’ils s’ennuient et qu’ils ne savent pas quoi faire. Ils zonent sur internet, vont sur les sites et se dĂ©cident Ă  rencontrer leur premiĂšre escort. A part les jeunes, tu vois d’autres profils ?Les jeunes ça me frappe parce que j’ai l’habitude d’avoir des hommes plus ĂągĂ©s. Mais depuis le dĂ©but du confinement, ce qui saute aux yeux c’est les hommes mariĂ©s. J’ai jamais vu autant de mecs mariĂ©s, j’en ai Ă©normĂ©ment. Tout Ă  l’heure, sur le site, un type m’a contactĂ© pour venir me voir, son pseudo Je la supporte plus, envie de baiser ». Il m’expliquait ĂȘtre enfermĂ© avec sa femme depuis une semaine, il n’en pouvait plus. Le type Ă©tait Ă  bout ! Donc pour toi, ils ne seraient pas venus si nous n’étions pas dans une pĂ©riode si exceptionnelle
 Non clairement pas. Je ressens vraiment le cĂŽtĂ© exceptionnel de la situation, les gens reconsidĂšrent leur quotidien. Un homme mariĂ© ne peut plus aller voir sa maitresse et n’a plus le bureau pour s’aĂ©rer l’esprit. Il se retrouve enfermĂ© avec une femme qu’il ne dĂ©sire plus et des enfants qu’il supporte difficilement. La rĂ©ciproque peut-ĂȘtre vraie. Chacun prend le temps de se questionner sur sa vie, son job, son quotidien et ses dĂ©sirs. Sur ses dĂ©sirs ?L’ennui permet de faire le point, d’explorer. DĂšs la premiĂšre semaine de confinement, j’ai reçu une femme, chose qui ne m’arrive jamais. Je ne suis pas lesbienne mais pour moi c’est plus tranquille donc tout bĂ©nef’. Elle Ă©tait mariĂ©e, 48 ans, sans aucune expĂ©rience avec les femmes. Elle a profitĂ© de cette pĂ©riode pour assouvir un dĂ©sir de longue date. Le climat en France est assez anxiogĂšne. Est-ce que ça créé d’autres envies, des demandes particuliĂšres chez tes clients ?Les plus ĂągĂ©es me demandent parfois de faire un strip tease pendant qu’ils se caressent pour Ă©viter les contacts. Hier, j’en ai reçu un en porte-jarretelles et pareil, il s’est touchĂ© en me regardant mais il portait un masque. C’est un peu Ă©trange mais bon
 A part ça, aucune nouvelle pratique. Pas d’exutoire ni de rapports plus passionnĂ©s, ça reste trĂšs routinier. En terme d’hygiĂšne, tu remarques une attention particuliĂšre chez tes clients ? Pas du tout dans l’ensemble, les mecs arrivent, ne se lavent pas forcĂ©ment les mains. Ils s’en foutent ! Je propose toujours ma salle de bain, s’ils veulent se rafraichir et prendre une douche. TrĂšs peu le font, la plupart repartent sans se poser de question. Et toi, tu adaptes tes prestations pour limiter les risques ?De base, l’hygiĂšne est ultra importante dans mon mĂ©tier. Je me lavais dĂ©jĂ  avant et aprĂšs chaque rapport, donc ça change pas grand chose pour moi. Au lit, mĂȘme avant l’épidĂ©mie je n’embrassais pas, sauf en cas de bon feeling. LĂ , j’embrasse pas du tout mais pour le reste
 tout est permis. Je ne pense pas limiter les dĂ©gĂąts en arrĂȘtant certaines positions. Je sais que je prends des risques mais faut bien que je gagne ma vie donc je le fais Ă  fond. T’es du genre Ă  discuter avec tes clients ?CarrĂ©ment ! Je suis pas dans l’abatage, Ă  enchainer les clients toute la journĂ©e en regardant ma montre. Pour certains, une heure c’est une heure. Mais quand ça se passe bien, je ne suis pas Ă  la minute, ça m’arrive mĂȘme de prendre des verres aprĂšs. Vous parlez du Coronavirus ? Ah oui ils m’en parlent. Je les entends se plaindre les flics sont partout, c’est impossible de sortir, les rues sont vides, ils s’ennuient Ă  mourir chez eux. Mais les mecs sont chez moi, une escorte ! Et aprĂšs, ils rentrent Ă  la maison retrouver leur femme, leurs enfants alors qu’ils savent bien que je vois du monde
 DĂ©jĂ  de base, sans le virus, les mecs mariĂ©s qui viennent ça me dĂ©goute
 Mais lĂ , c’est carrĂ©ment dangereux pour leur famille. Parce qu’en rentrant Ă  la maison, je ne les imagine pas dire Ă  leur femme qu’ils reviennent de chez leur escort adorĂ©e. Tu les aides Ă  s’échapper de chez eux ?Je leur donne des idĂ©es. Par exemple, il y a un gros supermarchĂ© Ă  cĂŽtĂ© de chez moi donc je leur conseille de dire qu’ils vont chercher des cartouches d’encre ou des trucs qu’on ne trouve pas partout. Au final, j’en vois pas mal se dĂ©placer sans attestation. En journĂ©e, j’ai des clients de toutes les villes du coin, jusqu’à 15-20 kilomĂštres. En revanche le soir, c’est quasiment que des locaux. Je sais que je prends des risques mais faut bien que je gagne ma vie, donc je le fais Ă  fond. » J’imagine que d’autres clients respectent le confinement tout de mĂȘme
 Oui quelques-uns m’ont prĂ©venu de leur absence le temps du confinement. J’ai notamment un client, et il n’est pas le seul, qui veut juste ma compagnie. Pas de sexe, on ne se voit jamais dans ma chambre. On va plutĂŽt boire des verres, dĂ©jeuner ensemble, faire des balades. Lui je sais que je ne le reverrai pas avant la fin de cette histoire. Ton boulot parait relativement bouleversĂ©. Tu retiens quoi de tout ça ?À part le fait que les mecs mariĂ©s me dĂ©goutent encore plus ? Je reste une femme avant tout, voir ces pĂšres de famille se prĂ©cipiter dans mes bras parce qu’ils sont enfermĂ©s avec leur femme, ça ne donne pas envie de croire en l’amour. Au-delĂ  de ça, je suis convaincu de vouloir arrĂȘter. La pĂ©riode me montre qu’on est totalement seules pour s’assumer. J’ai quand mĂȘme failli me retrouver Ă  la rue en quelques jours
 En plus, impossible d’aller voir des amies qui sont confinĂ©es ensemble, je dois satisfaire ces messieurs pour payer mon loyer. Ma famille, c’est pareil. Ils ne savent pas ce que je fais mais mon pĂšre est malade, je ne peux pas prendre le risque d’aller leur rendre visite. Je me dis que ce confinement aura eu du positif pour moi. Entre tous ces comportements et la prĂ©caritĂ© du taffe qui saute aux yeux, j’ai envie de reprendre une vie normale. Entretien & Photos Benjamin Badache

choisir entre sa femme et sa maitresse